Le lion de Wembley.
Posté : 24 mai 2013, 09:14
Paul Bartoletti :
De 1949 à 1954, 16 sélections, Villeneuve le lança mais c'est à Bordeaux que sa réputation se développa et prospéra. Pilier de petit format ",,77 m - 85 kg" et avant de combat admirable en raison de sa bravoure, de sa mobilité, de sa souplesse et de sa vigueur défensive. Intraitable au ras du tenu, il se permettait de "tirer" jusqu'à l'aile quand besoin s'en faisait sentir. Cinq saisons durant, à un poste ou la concurrence était pourtant terrible, il fut un titulaire indiscutable et indiscuté du XIII de France, au tout premier rang de la hiérarchie. Sa tournée aux antipodes en 1951 ne souleva que des louanges. Toutefois, c'est le match du 22 mars 1949 à Londres, contre l'Angleterre, qui approfondit le mieux son renom. A cette occasion, le XIII de France fut servi par un pack souverain qui lui apporta une impeccable victoire "12-5". Calixte, Berthomieu, Ponsinet, Martin, Ulma se montrèrent remarquables. Paul Bartoletti les surpassa tous. A tel point que les journalistes britanniques, conquis par tant d'efficacité et de panache, ne l'appelèrent plus que le : LE LION DE WEMBLEY ! "Encyclopédie de Treize mag"
TM : 209
De 1949 à 1954, 16 sélections, Villeneuve le lança mais c'est à Bordeaux que sa réputation se développa et prospéra. Pilier de petit format ",,77 m - 85 kg" et avant de combat admirable en raison de sa bravoure, de sa mobilité, de sa souplesse et de sa vigueur défensive. Intraitable au ras du tenu, il se permettait de "tirer" jusqu'à l'aile quand besoin s'en faisait sentir. Cinq saisons durant, à un poste ou la concurrence était pourtant terrible, il fut un titulaire indiscutable et indiscuté du XIII de France, au tout premier rang de la hiérarchie. Sa tournée aux antipodes en 1951 ne souleva que des louanges. Toutefois, c'est le match du 22 mars 1949 à Londres, contre l'Angleterre, qui approfondit le mieux son renom. A cette occasion, le XIII de France fut servi par un pack souverain qui lui apporta une impeccable victoire "12-5". Calixte, Berthomieu, Ponsinet, Martin, Ulma se montrèrent remarquables. Paul Bartoletti les surpassa tous. A tel point que les journalistes britanniques, conquis par tant d'efficacité et de panache, ne l'appelèrent plus que le : LE LION DE WEMBLEY ! "Encyclopédie de Treize mag"
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