Villeneuve XIII en liquidation judiciaire
Modérateur : Mod. Hexa
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Villeneuve XIII en liquidation judiciaire
Vu sur La Dépêche de ce jour
Rugby à XIII- Pour un passif de 100.000 euros.
Villeneuve XIII en liquidation judiciaire
L'Union Sportive Villeneuve XIII n'existe plus. Le coup de grâce a été donné hier par le tribunal de grande instance d'Agen en décidant sa liquidation judiciaire immédiate. Une décision qui était certes attendue par l'état major du club car en déposant le bilan auprès de ce même tribunal il y a quelques semaines, le pire était à craindre. Le passif serait de l'ordre de 100.000 euros.
"Les dirigeants villeneuvois ont préféré la liquidation immédiate plutôt qu'un nouveau délai de six mois". a sobrement expliqué Me Veyssière, l'avocat du club. Un club dont les responsables ont décidé de se serrer les coudes. L'action à venir devait être arrêtée au cours d'une réunion programmée hier soir.
Une certitude : le rugby à XIII continuera à vivre sur les bords du Lot. Dans un nouveau club. Sous quelle appellation ? Villeneuve XIII Rugby League , peut être. Aujourd'hui, la question semble prématurée, tellement les dégâts sont énormes.
D'autres clubs treizistes ont, dans un récent passé, surmonté pareils ennuis : Limoux, Carcassonne et Avignon, entre autres.
Rugby à XIII- Pour un passif de 100.000 euros.
Villeneuve XIII en liquidation judiciaire
L'Union Sportive Villeneuve XIII n'existe plus. Le coup de grâce a été donné hier par le tribunal de grande instance d'Agen en décidant sa liquidation judiciaire immédiate. Une décision qui était certes attendue par l'état major du club car en déposant le bilan auprès de ce même tribunal il y a quelques semaines, le pire était à craindre. Le passif serait de l'ordre de 100.000 euros.
"Les dirigeants villeneuvois ont préféré la liquidation immédiate plutôt qu'un nouveau délai de six mois". a sobrement expliqué Me Veyssière, l'avocat du club. Un club dont les responsables ont décidé de se serrer les coudes. L'action à venir devait être arrêtée au cours d'une réunion programmée hier soir.
Une certitude : le rugby à XIII continuera à vivre sur les bords du Lot. Dans un nouveau club. Sous quelle appellation ? Villeneuve XIII Rugby League , peut être. Aujourd'hui, la question semble prématurée, tellement les dégâts sont énormes.
D'autres clubs treizistes ont, dans un récent passé, surmonté pareils ennuis : Limoux, Carcassonne et Avignon, entre autres.
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Combien le SU AGEN touche par le département la ville et son canton.?
VILLENEUVE à raison de déposé le bilan la nouvelle entité va repartir avec des comptes à zéro.
Mais attention les clubs ELITE1 ou ELITE2 devrons dans le futur suite à un dépot de bilan déscendre de division comme dans le FOOT
Bonne chance à la nouvelle structure
VILLENEUVE à raison de déposé le bilan la nouvelle entité va repartir avec des comptes à zéro.
Mais attention les clubs ELITE1 ou ELITE2 devrons dans le futur suite à un dépot de bilan déscendre de division comme dans le FOOT
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Au niveau sportif que risque Villeneuve avec une telle dette ? Meme si le club change d'appellation, comment faire une équipe qui tient la route ? En tout cas je leur souhaite bon courage car un championnat sans Villeneuve serait un pépin de plus pour nous les treizistes. Au fait Carrasco a t il bien signé à Limoux ?
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Pour ceux que ça interesse, voir mini-débat sur le site
www.rugbytreize.com
chez l'ami Pierre Carcau.
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c'est vrai que ça va leur permettre de repartir à zéro !!
mais que vont penser leurs sponsors ? peuvent-ils se permettre que leurs noms soit associé à un club en faillite. il va falloir que les dirigeants soient très très persuasifs, et arrivent à remobiliser les dirigeants et joueurs du club.
je leur souhaitent de tout coeur bonne chance.
mais que vont penser leurs sponsors ? peuvent-ils se permettre que leurs noms soit associé à un club en faillite. il va falloir que les dirigeants soient très très persuasifs, et arrivent à remobiliser les dirigeants et joueurs du club.
je leur souhaitent de tout coeur bonne chance.
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il est tres difficile de se relever apres une chute comme ça mais des gens pleins de bonne volonté y arrivent.....je suis contente que les présidents des clubs elites soutiennent villeneuve et je ne crois pas qu'une sanction sportive (retrogradation en division inférieure) arrangerait quoi que ce soit pour le XIII
villeneuve a toujours était une equipe agréable a voir jouer , alors il n'est pas besoin de faire des raisonnements sur le bien fondé de ne pas retragrader cette equipe....l'elite ne regorge pas d'equipe si on commence a supprimer celle qui ont une renommée......ou va t'on???
villeneuve a toujours était une equipe agréable a voir jouer , alors il n'est pas besoin de faire des raisonnements sur le bien fondé de ne pas retragrader cette equipe....l'elite ne regorge pas d'equipe si on commence a supprimer celle qui ont une renommée......ou va t'on???
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Bien sur VILLENEUVE devrait etre rétrogradé , mais devant le défaut de règle précise VILLENEUVE doit rester.
La LNR13 devra définir un cahier des charges donnant les droits et les devoirs de ces adhérents.
a finance
b respect du droit du travail
c avoir une équipe en nationale
d avoir des juniors
e avoir des cadets
f un objectif de développement exterieur
La LNR13 devra définir un cahier des charges donnant les droits et les devoirs de ces adhérents.
a finance
b respect du droit du travail
c avoir une équipe en nationale
d avoir des juniors
e avoir des cadets
f un objectif de développement exterieur
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Vu sur ladepeche.com ( http://www.ladepeche.com/aff_art.asp?Re ... esultats=1 )
Article paru le 15/09/2004
VILLENEUVE-SUR-LOT (47) - RUGBY À TREIZE. APRÈS LA LIQUIDATION DE L'USV XIII.
J. Lombard : « C'est ce que je voulais faire l'an dernier »
La liquidation judiciaire de l'USV XIII était, bien entendu, dans toutes les conversations, hier, dans la bastide. Le rugby à XIII est une institution à Villeneuve et le fait que tout le monde s'intéresse à la situation des Léopards d'Aquitaine est peut-être quelque part un bon signe. Et beaucoup de se demander pourquoi le club a gardé le mutisme alors que de nombreuses rencontres ou rendez-vous ont eu lieu ces derniers jours. Le public est surpris même si on savait bien que la situation financière du club villeneuvois n'était pas fantastique. Qu'importe, il faut maintenant penser à l'avenir, préparer la prochaine saison, repartir sur des bases les plus saines possibles. Et préparer le 70e anniversaire du club prévu début octobre. Date à laquelle la présentation officielle de la saison nationale aura lieu… à Villeneuve. Preuve du soutien de la fédération au club vert et blanc.
Depuis qu'elle a quitté la présidence du club en fin de saison dernière, Josy Lombard suit les événements d'un peu plus loin que lors des précédents mois. Même si elle est toujours membre, elle a pris un peu de recul, « trop occupée ». Et l'annonce de la liquidation judiciaire ne l'a pas surprise. « Nous connaissons des soucis financiers depuis quelques années. Sous ma présidence, nous avons fait le maximum pour éponger les dettes. Le chiffre a été réduit mais on ne pouvait pas tout faire en une seule fois. C'est sûr que sur plusieurs années, le trou pouvait être comblé. En ce qui concerne la liquidation, je ne suis pas surprise car c'était la solution que je préconisais dès l'année dernière. Mais je n'avais pas été suivie car j'étais la seule à vouloir opter pour cette solution », a-t-elle précisé hier. La question est de savoir pourquoi quelques semaines plus tard, c'est justement cette solution qui a été choisie par la nouvelle équipe dirigeante. « C'est leur choix, ils ont sans doute leurs raisons. Je ne sais pas quel est leur but. Ce sont des grands garçons. Ils ont pris la décision qui leur semblait peut-être la meilleure pour le club ». Josy Lombard a toujours le cœur treiziste même si elle a pris quelques distances. En tout cas, « il n'est pas question que je prenne de nouvelles responsabilités pour la saison qui s'annonce. Je n'en veux plus », a-t-elle rajouté hier. Une nouvelle réunion des dirigeants villeneuvois était prévue hier soir. L'occasion sans doute de faire connaître leur point de vue.
Laurent Lasserre.
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BILLET
Je t'aime, moi non plus…
Les rapports entre le XIII et la presse sont toujours conflictuels. « Qui aime bien, châtie bien », dit le dicton. Hier mardi, les dirigeants de Villeneuve XIII par la voix du chargé de communication ont repris le même discours: « Vous en faites plus quand les choses vont mal que lorsque nous sommes champions de France. » D'autres pourraient se sentir visés, pas nous. « La Dépêche du Midi » a toujours respecté Villeneuve XIII, son histoire, ses supporters, ses joueurs. Depuis 1996 date du renouveau du Treize villeneuvois (après quelques années de disette), « La Dépêche du Midi » a consacré dans ses colonnes plus de place aux exploits des verts qu'aucun autre quotidien régional de France. Alors puisque nous sommes présents pour saluer les victoires comment pourrait-on nous reprocher d'être présents pour raconter les péripéties de la vie du club ? Même à ce moment particulier de la transition entre l'USV qui n'existe plus et le futur club à naître. Les dirigeants de l'US Villeneuve XIII auraient souhaité que nous attendions le feu vert de leur part pour raconter le dépôt de bilan et la liquidation judiciaire. Par respect pour nos lecteurs, nous avons fait un autre choix. Depuis hier matin, les mauvais procès succèdent à la mauvaise foi. Tout à fait objectivement, nous n'avons condamné personne. Surtout pas le mouvement treiziste sur les bords du Lot. On a tous intérêt à voir repartir un club de haut niveau. Tout le reste est dérisoire…
Jean-Louis Amella
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RÉACTION
« La troisième bombe »
Il est intarissable quand il parle du rugby à XIII dans la bastide. Passionné, René Verdier l'est assurément quand il évoque ce sport qu'il suit depuis très longtemps. Au point que l'histoire du treize dans la bastide se confond presque avec lui. Ils ont été, ensemble, des meilleurs mais aussi des plus mauvais moments. Alors la liquidation de son club préféré qu'il a appris dans nos colonnes l'a marqué. « C'est évidemment un coup dur. Nous avons connu un virage il y a quelques années. Des erreurs ont été commises et ce n'est pas à moi de m'attarder dessus. Le rugby à treize est lié à la ville, à Villeneuve-sur-treize. En ce qui me concerne, je ne conçois pas qu'il n'y ait pas de club de treize dans la bastide. J'espère que les dirigeants et ceux qui sont à la tête du club pourront repartir sur de bonnes bases. Depuis le début du siècle, j'estime qu'il y avait eu deux bombes dans notre discipline. La première en 1934 quand le treize a fait son apparition sur les bords du Lot. Le 6 mai 1934, c'était merveilleux, il n'y avait plus une place de libre au pont de Marot. La deuxième bombe, pour moi, date de 1940, quand nous avons été radiés et obligés de passer à XV. Mais on a su relever la tête. Et la troisième bombe, c'est ce qui vient de se passer. Ce n'est plus l'âge d'or. Mais il y avait déjà eu des soucis financiers dans les années « 70 ». Et le club s'était relevé ». Espérons qu'il en sera de même en ce début de troisième millénaire.
Article paru le 15/09/2004
VILLENEUVE-SUR-LOT (47) - RUGBY À TREIZE. APRÈS LA LIQUIDATION DE L'USV XIII.
J. Lombard : « C'est ce que je voulais faire l'an dernier »
La liquidation judiciaire de l'USV XIII était, bien entendu, dans toutes les conversations, hier, dans la bastide. Le rugby à XIII est une institution à Villeneuve et le fait que tout le monde s'intéresse à la situation des Léopards d'Aquitaine est peut-être quelque part un bon signe. Et beaucoup de se demander pourquoi le club a gardé le mutisme alors que de nombreuses rencontres ou rendez-vous ont eu lieu ces derniers jours. Le public est surpris même si on savait bien que la situation financière du club villeneuvois n'était pas fantastique. Qu'importe, il faut maintenant penser à l'avenir, préparer la prochaine saison, repartir sur des bases les plus saines possibles. Et préparer le 70e anniversaire du club prévu début octobre. Date à laquelle la présentation officielle de la saison nationale aura lieu… à Villeneuve. Preuve du soutien de la fédération au club vert et blanc.
Depuis qu'elle a quitté la présidence du club en fin de saison dernière, Josy Lombard suit les événements d'un peu plus loin que lors des précédents mois. Même si elle est toujours membre, elle a pris un peu de recul, « trop occupée ». Et l'annonce de la liquidation judiciaire ne l'a pas surprise. « Nous connaissons des soucis financiers depuis quelques années. Sous ma présidence, nous avons fait le maximum pour éponger les dettes. Le chiffre a été réduit mais on ne pouvait pas tout faire en une seule fois. C'est sûr que sur plusieurs années, le trou pouvait être comblé. En ce qui concerne la liquidation, je ne suis pas surprise car c'était la solution que je préconisais dès l'année dernière. Mais je n'avais pas été suivie car j'étais la seule à vouloir opter pour cette solution », a-t-elle précisé hier. La question est de savoir pourquoi quelques semaines plus tard, c'est justement cette solution qui a été choisie par la nouvelle équipe dirigeante. « C'est leur choix, ils ont sans doute leurs raisons. Je ne sais pas quel est leur but. Ce sont des grands garçons. Ils ont pris la décision qui leur semblait peut-être la meilleure pour le club ». Josy Lombard a toujours le cœur treiziste même si elle a pris quelques distances. En tout cas, « il n'est pas question que je prenne de nouvelles responsabilités pour la saison qui s'annonce. Je n'en veux plus », a-t-elle rajouté hier. Une nouvelle réunion des dirigeants villeneuvois était prévue hier soir. L'occasion sans doute de faire connaître leur point de vue.
Laurent Lasserre.
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BILLET
Je t'aime, moi non plus…
Les rapports entre le XIII et la presse sont toujours conflictuels. « Qui aime bien, châtie bien », dit le dicton. Hier mardi, les dirigeants de Villeneuve XIII par la voix du chargé de communication ont repris le même discours: « Vous en faites plus quand les choses vont mal que lorsque nous sommes champions de France. » D'autres pourraient se sentir visés, pas nous. « La Dépêche du Midi » a toujours respecté Villeneuve XIII, son histoire, ses supporters, ses joueurs. Depuis 1996 date du renouveau du Treize villeneuvois (après quelques années de disette), « La Dépêche du Midi » a consacré dans ses colonnes plus de place aux exploits des verts qu'aucun autre quotidien régional de France. Alors puisque nous sommes présents pour saluer les victoires comment pourrait-on nous reprocher d'être présents pour raconter les péripéties de la vie du club ? Même à ce moment particulier de la transition entre l'USV qui n'existe plus et le futur club à naître. Les dirigeants de l'US Villeneuve XIII auraient souhaité que nous attendions le feu vert de leur part pour raconter le dépôt de bilan et la liquidation judiciaire. Par respect pour nos lecteurs, nous avons fait un autre choix. Depuis hier matin, les mauvais procès succèdent à la mauvaise foi. Tout à fait objectivement, nous n'avons condamné personne. Surtout pas le mouvement treiziste sur les bords du Lot. On a tous intérêt à voir repartir un club de haut niveau. Tout le reste est dérisoire…
Jean-Louis Amella
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RÉACTION
« La troisième bombe »
Il est intarissable quand il parle du rugby à XIII dans la bastide. Passionné, René Verdier l'est assurément quand il évoque ce sport qu'il suit depuis très longtemps. Au point que l'histoire du treize dans la bastide se confond presque avec lui. Ils ont été, ensemble, des meilleurs mais aussi des plus mauvais moments. Alors la liquidation de son club préféré qu'il a appris dans nos colonnes l'a marqué. « C'est évidemment un coup dur. Nous avons connu un virage il y a quelques années. Des erreurs ont été commises et ce n'est pas à moi de m'attarder dessus. Le rugby à treize est lié à la ville, à Villeneuve-sur-treize. En ce qui me concerne, je ne conçois pas qu'il n'y ait pas de club de treize dans la bastide. J'espère que les dirigeants et ceux qui sont à la tête du club pourront repartir sur de bonnes bases. Depuis le début du siècle, j'estime qu'il y avait eu deux bombes dans notre discipline. La première en 1934 quand le treize a fait son apparition sur les bords du Lot. Le 6 mai 1934, c'était merveilleux, il n'y avait plus une place de libre au pont de Marot. La deuxième bombe, pour moi, date de 1940, quand nous avons été radiés et obligés de passer à XV. Mais on a su relever la tête. Et la troisième bombe, c'est ce qui vient de se passer. Ce n'est plus l'âge d'or. Mais il y avait déjà eu des soucis financiers dans les années « 70 ». Et le club s'était relevé ». Espérons qu'il en sera de même en ce début de troisième millénaire.
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- Porteur d'eau
- Messages : 32
- Enregistré le : 31 août 2004, 22:37
ce que je peux comprendre avc mon peu d'expérience, c'est qu'un club comme Villeneuve si capé en est arrivé là après plusieurs années d'endettement. C'est un club qui a des joueurs pros bien payés par rapport à des clubs plus..petits. La donne au moment des mutations n'est -elle pas faussée? Cela ne pousse t-il pas certains clubs a s'endetter pour récupérer des joueurs de qualité? bien dommage de voir ça, d'autant que les joueurs ne seront finalement pas payés comme le disait Lulu13. Je suis à la fois déçue et furieuse car cela ne fait pas les affaires du XIII :endesaccord14: