effectivement, le stade de narbonne sonnait bien creux, mais les absents ont ils eu raison ?
à la vue du jeu pratiqué certes, OUI...
nous pouvons toutefois trouver des excuses à l'équipe de FRANCE A puisque neuf titulaires étaient absents, de plus pour un bon match, il convient d'avoir un arbitre à la hauteur, ce qui ne fut pas le cas à Narbonne.
Les Ecossais étaient systhématiquement hors jeu sur les tenus dans de tels cas comment dévolopper des attaques dignes de ce nom d'autant que la pelouse et le ballon étaient glissants...les écossais ont ralenti pratiquement tous les tenus...
En revanche, le plus inquiétant est le manque de fraîcheur physique des français et le manque total de pénétration des avants...
le pire est à craindre en finale devant une opposition nettement plus redoutable....
france - ecosse
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le c.r de l'independant du 10/11/2003
Les spectateurs qui avaient bravé un temps typiquement britannique pour venir encourager les Bleus dans leur entreprise européenne s'attendaient à un match âpre et ils n'ont pas été surpris. Surtout pas agréablement quant au jeu français. Il faut dire que le terrain glissant, la balle difficile à maîtriser et surtout les gabarits hors norme de certains Ecossais, n'ont pas favorisé les envolées et les attaques grand champ des partenaires de Rinaldi. En avaient-ils d'ailleurs les moyens, eux qui présentaient une équipe affaiblie par l'absence de nombreux titulaires et qui voyaient de surcroît dès la 2e minute le trois-quart Claude Sirvent sortir sur blessure (fracture du péroné)
Poussés dans leurs derniers retranchements durant la première mi-temps par des Britanniques conquérants et belliqueux qui les mettaient souvent à la faute, les hommes de Gilles Dumas ont foré une guerre de tranchée deux jours avant le 11 novembre. Et miracle ou résultat de leur volonté farouche, ils ont tenu jusqu'à la 36e minute. Si bien qu'à la mi-temps Waïgafa et les siens rentraient au vestiaire avec 6 petits point de retard seulement : ce n'était pas cher payé pour les Ecossais. C'était plutôt flatteur pour les Français qui avaient vu leurs adversaires échouer à deux reprises à quelques centimètres de la ligne d'essai. Ah ! quand ca ne veut …
On ne changeait pas le decor Toussaint en seconde mi-temps, mais on revenait avec davantage d'audace et de confiance du côté français. Les attaques trouvaient enfin du mordant quand Jampy faisaient sa rentrée à la 55e minute, et comme Frayssinous osait des coups de pied tactiques bien dosés, les Bleus faisaient le siège du camp Ecossais. Dommage que Rinaldi puis Frayssinous aient manqué' deux drops apparemment faciles car ajoutés aux trois pénalités réussies en seconde période, ils auraient assuré un meilleur résultat Mais les Tricolores doivent s'estimer finalement heureux de ne s'être inclinés que de deux points, quand on pense à la dernière action qui voit Van Snich sauver la patrie treiziste lorsqu'il récupère une superbe diagonale de Henderson a la barbe des avants écossais.
Dans la froidure narbonnaise, or avait eu chaud et pourtant., or s'en serait bien passé.
Les spectateurs qui avaient bravé un temps typiquement britannique pour venir encourager les Bleus dans leur entreprise européenne s'attendaient à un match âpre et ils n'ont pas été surpris. Surtout pas agréablement quant au jeu français. Il faut dire que le terrain glissant, la balle difficile à maîtriser et surtout les gabarits hors norme de certains Ecossais, n'ont pas favorisé les envolées et les attaques grand champ des partenaires de Rinaldi. En avaient-ils d'ailleurs les moyens, eux qui présentaient une équipe affaiblie par l'absence de nombreux titulaires et qui voyaient de surcroît dès la 2e minute le trois-quart Claude Sirvent sortir sur blessure (fracture du péroné)
Poussés dans leurs derniers retranchements durant la première mi-temps par des Britanniques conquérants et belliqueux qui les mettaient souvent à la faute, les hommes de Gilles Dumas ont foré une guerre de tranchée deux jours avant le 11 novembre. Et miracle ou résultat de leur volonté farouche, ils ont tenu jusqu'à la 36e minute. Si bien qu'à la mi-temps Waïgafa et les siens rentraient au vestiaire avec 6 petits point de retard seulement : ce n'était pas cher payé pour les Ecossais. C'était plutôt flatteur pour les Français qui avaient vu leurs adversaires échouer à deux reprises à quelques centimètres de la ligne d'essai. Ah ! quand ca ne veut …
On ne changeait pas le decor Toussaint en seconde mi-temps, mais on revenait avec davantage d'audace et de confiance du côté français. Les attaques trouvaient enfin du mordant quand Jampy faisaient sa rentrée à la 55e minute, et comme Frayssinous osait des coups de pied tactiques bien dosés, les Bleus faisaient le siège du camp Ecossais. Dommage que Rinaldi puis Frayssinous aient manqué' deux drops apparemment faciles car ajoutés aux trois pénalités réussies en seconde période, ils auraient assuré un meilleur résultat Mais les Tricolores doivent s'estimer finalement heureux de ne s'être inclinés que de deux points, quand on pense à la dernière action qui voit Van Snich sauver la patrie treiziste lorsqu'il récupère une superbe diagonale de Henderson a la barbe des avants écossais.
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