Le Prix d'un homme
Modérateur : Mod. Hexa
-
- Darren Lockyer
- Messages : 15155
- Enregistré le : 02 janv. 2005, 18:42
Le Prix d'un homme
Le prix d’un homme, le très beau film de Lindsay Anderson sort demain 2 décembre en salle .
"Jeune prolétaire (mineur de fond) du Nord de l’Angleterre, Richard Harris devient adulé du jour au lendemain par son statut de joueur vedette de son club local de rugby à XIII"
Le film sera présenté à Perpignan entre le 3 et 10 février en présence des Dragons Castllet / Rive Gauche
A Marseille entre le 24 fevrier et 9 mars
A Carcassonne entre le 3 et 10 mars - Cap cinéma
A lezignan 3 jours et Limoux 3 jours en janvier semaine du 27 Janvier
Si vous voulez qu'il soit présenté dans votre ville et organiser un débat,rencontre ,dédicaces........ contactez au 0142879267 Me Perrine Fourcade ,chargée de communication
"Jeune prolétaire (mineur de fond) du Nord de l’Angleterre, Richard Harris devient adulé du jour au lendemain par son statut de joueur vedette de son club local de rugby à XIII"
Le film sera présenté à Perpignan entre le 3 et 10 février en présence des Dragons Castllet / Rive Gauche
A Marseille entre le 24 fevrier et 9 mars
A Carcassonne entre le 3 et 10 mars - Cap cinéma
A lezignan 3 jours et Limoux 3 jours en janvier semaine du 27 Janvier
Si vous voulez qu'il soit présenté dans votre ville et organiser un débat,rencontre ,dédicaces........ contactez au 0142879267 Me Perrine Fourcade ,chargée de communication
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
Modifié en dernier par corbieres13 le 02 déc. 2009, 18:38, modifié 2 fois.
-
- Senior
- Messages : 1095
- Enregistré le : 22 nov. 2006, 17:35
- Localisation : PARIS
- Contact :
Re: Le Prix d'un homme
En anglais: "My sporting life". A part ça le livre est remarquablement mal traduit, il n'est jamais fait allusion au rugby à XIII. J'avais lors de sa parution demandé à l'éditeur des explications concernant certains passages en anglais et bien évidemment, :rasta: n'ai jamais obtenu de réponse, lui faisant remarquer que certaines phrases étaient mal traduites, car il s'agissait de rugby "league" communément appelé rugby à XIII en france. Et non du "politiquement correct rugby à XV" dont on nous gave à longueur d'année. :?:
Il passe à Paris à compter du 2 XII, avec débats à la clé
Il passe à Paris à compter du 2 XII, avec débats à la clé
-
- Darren Lockyer
- Messages : 8700
- Enregistré le : 11 sept. 2004, 15:29
- Localisation : Bordeaux
Re: Le Prix d'un homme
Idem pour moi...
ayant vu le film dans mes années d'étudiant ...en 67 je crois...j'étais très heureux de découvrir le livre en français il y a 4 ou 5 ans ...mais je fus très déçu de trouver une traduction ne parlant que de rugby ... sans jamais une allusion au XIII ... alors qu'il s'agit
d'une histoire profondément treiziste de par sa localisation et ses racines sociales .
Jamais le rugby à XV n'aurait pu inspirer un tel roman ou un tel film !
J'avais donc protesté auprès de l'éditeur français ...
réponse: mais tout ça c'est du rugby ...et puis il faut VENDRE !
ayant vu le film dans mes années d'étudiant ...en 67 je crois...j'étais très heureux de découvrir le livre en français il y a 4 ou 5 ans ...mais je fus très déçu de trouver une traduction ne parlant que de rugby ... sans jamais une allusion au XIII ... alors qu'il s'agit
d'une histoire profondément treiziste de par sa localisation et ses racines sociales .
Jamais le rugby à XV n'aurait pu inspirer un tel roman ou un tel film !
J'avais donc protesté auprès de l'éditeur français ...
réponse: mais tout ça c'est du rugby ...et puis il faut VENDRE !
-
- Darren Lockyer
- Messages : 15155
- Enregistré le : 02 janv. 2005, 18:42
Re: Le Prix d'un homme
Y-a-il d'autres contacts de villes qui s'interessent à la projection de ce film ,suivi d'un débat ,dédicaces ou autre ?
-
- Darren Lockyer
- Messages : 15155
- Enregistré le : 02 janv. 2005, 18:42
Re: Le Prix d'un homme
Datée d’aujourd’hui, une très belle analyse du film sur le blog du Monde
Exister selon ses propres règles
La technologie a du bon parfois. Surtout quand elle permet (re)voir un grand film oublié dans les meilleures conditions. Celles qui autorisent enfin à goûter à la volupté d’un noir et blanc qui doit sembler vétéro-testamentaire à la génération I-pod. De temps en temps, durant les temps morts généralement, un bijou de ce genre est programmé dans une dizaine de salles françaises. A partir de ce mercredi, c’est au tour du Prix d’un homme (1963) de Lindsay Anderson, titre librement adapté du roman This sporting lifede David Storey, publié en 2002 en français sous le titre Ma vie sportive (traduit de l’anglais par Camille Domecq, 310 pages, 21,50 euros, La fosse aux ours). Un grand film tiré d’un bon livre.
C’est l’histoire d’un jeune mineur dans le nord de l’Angleterre industrielle, un type tout en nerfs et en muscles, dont l’attitude naturelle est de se croiser les bras pour s’empêcher de cogner toute personne qui lui adresse la parole, à moins qu’il ne les décroise pour se plonger dans un livre de poche tout abîmé, le seul qu’il ait, toujours le même, Cry tough. Il est puissamment incarné par Richard Harris, prix d’interprétation à Cannes pour ce rôle, un comédien à la carrière des plus riches formé à l’école du Workshop Theatre. Ses prouesses dans l’équipe de rugby de Wakefield (Yorkshire) représentent son seul et unique espoir de s’en sortir, puisqu’il ne parvient guère à s’exprimer en société, à la mine ou sur le terrain sans manifester la violence qui le ronge. Son jeu animal fait penser de manière troublante au Brando de Sur les quais et d’Un tramway nommé Désir. Surtout dans son affrontement avec sa logeuse, une femme qui s’abîme dans la rumination de la mort accidentelle de son mari et de l’injustice qui s’ensuivit, alors que lui n’a de cesse de vivre l’instant présent pour prendre au plus tôt sa revanche sur la vie. On le suit dès son recrutement à la veille de devenir sportif professionnel, on lui emboîte le pas dans son ascension sociale et la caméra ne le lâche plus deux heures et quart durant dans des plans d’une force et d’une beauté stupéfiantes. Même les matchs, filmés sur le stade local avec l’équipe du coin, sont d’une vérité saisissante. Il y a du gladiateur en lui. Par son esthétique, réalisme cru et sans complaisance mêlé de baroque dans les cadrages plongée/contre-plongée à la Orson Welles dans Citizen Kane, comme par la rage qui s’y développe et par son constant souci du social, le film est l’un des plus vifs exemples de ce qu’a donné le “free cinema”; né au début des années 50, ce mouvement de jeunes réalisateurs anglais était proche du “documentaire fictionnel”, dont les Angry young men furent le pendant littéraire. Ils n’avaient pas la haine, mais bien la rage. Son direct, caméra légère, décors naturels. Un cinéma d’insurgé qui raconte une histoire rude. Lindsay Anderson transformera son essai cinq ans plus tard en réalisant l’inoubliable If…
L’auteur du roman a également signé le scénario. Seul. Ce qui est assez rare pour être remarqué. La réussite du film ne tient pas seulement à la force du roman mais à la rencontre entre l’écrivain et le réalisateur. C’est vraiment son histoire, David Storey, né en 1933. Il l’a remarquablement architecturée : lourdement blessé à la machoire au cours d’un match, le héros se retrouve chez le dentiste dès le début et son opération dure tout le long, ponctuée de flashs-back. Ce premier roman est naturellement une partie de sa vie puisqu’il fut ce rugbyman professionnel. Qu’il s’agisse de la rugosité des petites gens ou des coups bas de la mêlée, il a tout écrit de l’intérieur. Rien de moins frelaté. Ca sent la boue, la merde, les larmes, le sang. Et quand son héros, fils d’ouvrier comme lui, parvient à se soustraire au ciel de suie sous lequel il est né, pour se laisser happer par le clinquant et les facilités de la bourgeoisie des dirigeants du club qui l’instrumentalise, il ne sait plus ce qui est pire, de la soumission et du fatalisme de son milieu d’origine, ou de l’arrogance des riches. Sa morale ? Exister selon ses propres règles. A la fin, il remet ses dents.
http://passouline.blog.lemonde.fr/2009/ ... es-regles/" onclick="window.open(this.href);return false;
Exister selon ses propres règles
La technologie a du bon parfois. Surtout quand elle permet (re)voir un grand film oublié dans les meilleures conditions. Celles qui autorisent enfin à goûter à la volupté d’un noir et blanc qui doit sembler vétéro-testamentaire à la génération I-pod. De temps en temps, durant les temps morts généralement, un bijou de ce genre est programmé dans une dizaine de salles françaises. A partir de ce mercredi, c’est au tour du Prix d’un homme (1963) de Lindsay Anderson, titre librement adapté du roman This sporting lifede David Storey, publié en 2002 en français sous le titre Ma vie sportive (traduit de l’anglais par Camille Domecq, 310 pages, 21,50 euros, La fosse aux ours). Un grand film tiré d’un bon livre.
C’est l’histoire d’un jeune mineur dans le nord de l’Angleterre industrielle, un type tout en nerfs et en muscles, dont l’attitude naturelle est de se croiser les bras pour s’empêcher de cogner toute personne qui lui adresse la parole, à moins qu’il ne les décroise pour se plonger dans un livre de poche tout abîmé, le seul qu’il ait, toujours le même, Cry tough. Il est puissamment incarné par Richard Harris, prix d’interprétation à Cannes pour ce rôle, un comédien à la carrière des plus riches formé à l’école du Workshop Theatre. Ses prouesses dans l’équipe de rugby de Wakefield (Yorkshire) représentent son seul et unique espoir de s’en sortir, puisqu’il ne parvient guère à s’exprimer en société, à la mine ou sur le terrain sans manifester la violence qui le ronge. Son jeu animal fait penser de manière troublante au Brando de Sur les quais et d’Un tramway nommé Désir. Surtout dans son affrontement avec sa logeuse, une femme qui s’abîme dans la rumination de la mort accidentelle de son mari et de l’injustice qui s’ensuivit, alors que lui n’a de cesse de vivre l’instant présent pour prendre au plus tôt sa revanche sur la vie. On le suit dès son recrutement à la veille de devenir sportif professionnel, on lui emboîte le pas dans son ascension sociale et la caméra ne le lâche plus deux heures et quart durant dans des plans d’une force et d’une beauté stupéfiantes. Même les matchs, filmés sur le stade local avec l’équipe du coin, sont d’une vérité saisissante. Il y a du gladiateur en lui. Par son esthétique, réalisme cru et sans complaisance mêlé de baroque dans les cadrages plongée/contre-plongée à la Orson Welles dans Citizen Kane, comme par la rage qui s’y développe et par son constant souci du social, le film est l’un des plus vifs exemples de ce qu’a donné le “free cinema”; né au début des années 50, ce mouvement de jeunes réalisateurs anglais était proche du “documentaire fictionnel”, dont les Angry young men furent le pendant littéraire. Ils n’avaient pas la haine, mais bien la rage. Son direct, caméra légère, décors naturels. Un cinéma d’insurgé qui raconte une histoire rude. Lindsay Anderson transformera son essai cinq ans plus tard en réalisant l’inoubliable If…
L’auteur du roman a également signé le scénario. Seul. Ce qui est assez rare pour être remarqué. La réussite du film ne tient pas seulement à la force du roman mais à la rencontre entre l’écrivain et le réalisateur. C’est vraiment son histoire, David Storey, né en 1933. Il l’a remarquablement architecturée : lourdement blessé à la machoire au cours d’un match, le héros se retrouve chez le dentiste dès le début et son opération dure tout le long, ponctuée de flashs-back. Ce premier roman est naturellement une partie de sa vie puisqu’il fut ce rugbyman professionnel. Qu’il s’agisse de la rugosité des petites gens ou des coups bas de la mêlée, il a tout écrit de l’intérieur. Rien de moins frelaté. Ca sent la boue, la merde, les larmes, le sang. Et quand son héros, fils d’ouvrier comme lui, parvient à se soustraire au ciel de suie sous lequel il est né, pour se laisser happer par le clinquant et les facilités de la bourgeoisie des dirigeants du club qui l’instrumentalise, il ne sait plus ce qui est pire, de la soumission et du fatalisme de son milieu d’origine, ou de l’arrogance des riches. Sa morale ? Exister selon ses propres règles. A la fin, il remet ses dents.
http://passouline.blog.lemonde.fr/2009/ ... es-regles/" onclick="window.open(this.href);return false;
-
- Darren Lockyer
- Messages : 8700
- Enregistré le : 11 sept. 2004, 15:29
- Localisation : Bordeaux
Re: Le Prix d'un homme
l'équipe de rugby de Wakefield...
ça recommence ... la spécificité treiziste est occultée :(
ça recommence ... la spécificité treiziste est occultée :(
-
- Darren Lockyer
- Messages : 15155
- Enregistré le : 02 janv. 2005, 18:42
Re: Le Prix d'un homme
Jean CAZENAVE a écrit :l'équipe de rugby de Wakefield...
ça recommence ... la spécificité treiziste est occultée :(
Dans Télérama idem ! :evil:
-
- Darren Lockyer
- Messages : 21359
- Enregistré le : 13 févr. 2003, 18:23
- Localisation : patagonie
Re: Le Prix d'un homme
Que vient foutre Denis CHARVET dans ce débat?
Est ce que si il y en avait un d'organiser pour la projection du film sur la coupe du monde en Af du Sud, on inviterait un treiziste?
Est ce que si il y en avait un d'organiser pour la projection du film sur la coupe du monde en Af du Sud, on inviterait un treiziste?
-
- Darren Lockyer
- Messages : 6124
- Enregistré le : 25 mai 2009, 10:28
- Localisation : 66
- Contact :
Re: Le Prix d'un homme
D'accord avec toi UP : un ancien international à XIII, pour participer aux débats, ça n'aurait pas été mal non plus ! Et bien plus logique...
-
- Darren Lockyer
- Messages : 6124
- Enregistré le : 25 mai 2009, 10:28
- Localisation : 66
- Contact :
Re: Le Prix d'un homme
Attention mes amis : depuis quelques temps, j'observe une tendance des médias à ne parler que de Rugby, sans aucune distinction. Quand on voit le contenu, on constate bien évidemment qu'il s'agit de XV ! De nombreux sites sportifs sont ainsi faits, et la dernière confusion (volontaire ?) vient de notre diffuseur Orange. Le carton publicitaire envoyé à tous les abonnés ne parle que de rugby (sous-entendu : Top 14).corbieres13 a écrit :Jean CAZENAVE a écrit :l'équipe de rugby de Wakefield...
ça recommence ... la spécificité treiziste est occultée :(
Dans Télérama idem ! :evil:
Soyons vigilants et réagissons pour demander à chaque fois une précision ou une rectification, car il s'agit là d'une dérive sémantique orchestrée - ou pas ?, pouvant être assimilée à une exclusion déguisée.
-
- Darren Lockyer
- Messages : 16223
- Enregistré le : 07 sept. 2004, 22:54
- Localisation : Dans un joli coin du 47
Re: Le Prix d'un homme
Dans ce débat il y a quand même 2 purs treizistes Fassolette et Bonnery , un journaliste qui jadis nous a offert cette merveille d'aventures treizistes du début jusqu'à la formidable épopée aux antipodes ....Rugby champagne :D il doit être bien placé pour discuter du sujet....en ce qui concerne Charvet bien sur on aurait préféré un international treiziste ..puisque le sujet concerne un treiziste...il sera peut être intéressant d'écouter les réactions de Charvet qui a priori ne me parait pas un sportif sectaire...Alain75 a écrit :Le XIII sur les écrans "Le Prix d'un homme", c'est le titre d'un film réalisé par Lindsay Anderson, qui ressort en salle et met en lumière le rugby à XIII des années 60, dans la grisaille, du Yorkshire en Angleterre. Le rugby de la mine, celui qui a élevé Franck au rang de star du rugby à XIII. Ce film couleur sépia, magnifiquement interprété par Richard Harris (Prix d'interprétation au Festival de Cannes en 1963) est présenté à Paris depuis le 2 décembre. Il entamera début 2010 une tournée en France, sous forme de projection-débat, avec des intervenants comme Henri Garcia (écrivain-journaliste), Michel Embarek (écrivain-journaliste), Denis Charvet (ancien international à XV), Robert Fassolette (sociologue du rugby à XIII) et Louis Bonnery (président de la ligue Languedoc-Roussillon et historien du rugby à XIII).
-
- Cadet
- Messages : 359
- Enregistré le : 16 juin 2008, 17:41
Re: Le Prix d'un homme
Louis Bonnery, est ancien international, ex-DTN et à ce titre il était chargé de l'équipe de France qu'il co-entraînait.
-
- Darren Lockyer
- Messages : 21359
- Enregistré le : 13 févr. 2003, 18:23
- Localisation : patagonie
Re: Le Prix d'un homme
C'était juste pour faire treiziste (un râleur impénitent)! :mdr13: :mdr13:
-
- Président
- Messages : 2418
- Enregistré le : 13 déc. 2007, 12:06
Re: Le Prix d'un homme
idem pour l'émission : rugby magazine ! sur une chaine du service public !ego scriptor a écrit :Attention mes amis : depuis quelques temps, j'observe une tendance des médias à ne parler que de Rugby, sans aucune distinction. Quand on voit le contenu, on constate bien évidemment qu'il s'agit de XV ! De nombreux sites sportifs sont ainsi faits, et la dernière confusion (volontaire ?) vient de notre diffuseur Orange. Le carton publicitaire envoyé à tous les abonnés ne parle que de rugby (sous-entendu : Top 14).corbieres13 a écrit :Jean CAZENAVE a écrit :l'équipe de rugby de Wakefield...
ça recommence ... la spécificité treiziste est occultée :(
Dans Télérama idem ! :evil:
Soyons vigilants et réagissons pour demander à chaque fois une précision ou une rectification, car il s'agit là d'une dérive sémantique orchestrée - ou pas ?, pouvant être assimilée à une exclusion déguisée.
voir intervention de"benmy" à l'encontre du présentateur de cette émission :
http://forums.france2.fr/france2/rugby/ ... 9787_1.htm" onclick="window.open(this.href);return false;
et bien sur pas de réponse de l'intéressé :twisted:
faut il intervenir auprès du médiateur ?
-
- Coach
- Messages : 5648
- Enregistré le : 19 juil. 2005, 20:08
Re: Le Prix d'un homme
Les appelations officielles ( juridiques) sontderriereletenu a écrit : idem pour l'émission : rugby magazine ! sur une chaine du service public !
voir intervention de"benmy" à l'encontre du présentateur de cette émission :
http://forums.france2.fr/france2/rugby/ ... 9787_1.htm" onclick="window.open(this.href);return false;
et bien sur pas de réponse de l'intéressé :twisted:
faut il intervenir auprès du médiateur ?
- Rugby ( pour celui qui se joue a 15 )
et
-Rugby a 13
Lorsque l'on a recouvré par voie de justice l'appelation Rugby ,
cela a été assorti de l'obligation du sigle 13 , la justice
n'a décidé cette obligation de distinction qu'au seul rugby a 13
et n'a nullement imposé ( mais l'avait on demandé ? non !!!!)
le sigle 15 au Rugby ( a 15)
Ainsi lorsque une émission qui s'appelle "magazine du Rugby" ne parle que du 15
vous ne pouvez rien faire !! le mot Rugby seul est exclusif du 15 !
cette question du sigle 15 accollé au Rugby avait fait l'objet d'une question écrite
du Député de L'Aude JC Pérez au Ministre des sports ( MG BUffet a l'epoque me semble t il )
et la réponse faite par la Ministre a été de renvoyer Le député a la lecture de la décision de justice .
Il n' y a donc pas de dérive sémantique !
C'est regretable mais c'est ainsi .
-
- Darren Lockyer
- Messages : 6124
- Enregistré le : 25 mai 2009, 10:28
- Localisation : 66
- Contact :
Re: Le Prix d'un homme
Le terme (seul) de rugby est donc exclusif au XV : JPA tu m'as gâché la soirée !
Je vais devoir prendre un lexomil pour dormir... grrrr
Je vais devoir prendre un lexomil pour dormir... grrrr
-
- Darren Lockyer
- Messages : 8700
- Enregistré le : 11 sept. 2004, 15:29
- Localisation : Bordeaux
Re: Le Prix d'un homme
C'est facile à comprendre:
la FFR a été créée vers 1920. A l'époque en france il n'y avait qu'un seul et unique rugby.
Quand le XIII est arrivé il s'est appelé rugby à XIII en 1934.
Personne n'a alors demandé à la FFR de changer de nom.
Comme pour une marque, la FFR avait l'antériorité et donc l'exclusivité du nom.
Et après Vichy et la libération elle a mème obtenu que nous ne puissions plus porter le nom rugby à XIII car il contenait le mot rugby dont elle voulait l'exclusivité...
On connait la suite:
le Tribunal a autorisé l'appellation rugby à XIII à nouveau en 1985.
Mais il n'a jamais été question ,ar ce n'est juridiquement pas possible, de demander à la FFR de s'appeler FFRXV.
C'est toujours la FFR et son sport c'est le rugby.
Nous c'est le rugby à XIII (variante du rugby).
C'est comme ça officiellement !
la FFR a été créée vers 1920. A l'époque en france il n'y avait qu'un seul et unique rugby.
Quand le XIII est arrivé il s'est appelé rugby à XIII en 1934.
Personne n'a alors demandé à la FFR de changer de nom.
Comme pour une marque, la FFR avait l'antériorité et donc l'exclusivité du nom.
Et après Vichy et la libération elle a mème obtenu que nous ne puissions plus porter le nom rugby à XIII car il contenait le mot rugby dont elle voulait l'exclusivité...
On connait la suite:
le Tribunal a autorisé l'appellation rugby à XIII à nouveau en 1985.
Mais il n'a jamais été question ,ar ce n'est juridiquement pas possible, de demander à la FFR de s'appeler FFRXV.
C'est toujours la FFR et son sport c'est le rugby.
Nous c'est le rugby à XIII (variante du rugby).
C'est comme ça officiellement !
-
- Coach
- Messages : 5648
- Enregistré le : 19 juil. 2005, 20:08
Re: Le Prix d'un homme
Même si tu confirmes mon post précédent , je pense que tu fais erreur sur l'appelation FFRJean CAZENAVE a écrit :C'est facile à comprendre:
la FFR a été créée vers 1920. A l'époque en france il n'y avait qu'un seul et unique rugby.
Quand le XIII est arrivé il s'est appelé rugby à XIII en 1934.
Personne n'a alors demandé à la FFR de changer de nom.
Comme pour une marque, la FFR avait l'antériorité et donc l'exclusivité du nom.
Et après Vichy et la libération elle a mème obtenu que nous ne puissions plus porter le nom rugby à XIII car il contenait le mot rugby dont elle voulait l'exclusivité...
On connait la suite:
le Tribunal a autorisé l'appellation rugby à XIII à nouveau en 1985.
Mais il n'a jamais été question ,ar ce n'est juridiquement pas possible, de demander à la FFR de s'appeler FFRXV.
C'est toujours la FFR et son sport c'est le rugby.
Nous c'est le rugby à XIII (variante du rugby).
C'est comme ça officiellement !
que tu consideres comme ayant toujours existé .
A une date que je ne saurais préciser la FFR XV s'est relabéllisée FFR , en supprimant le sigle XV .
je me souviens tres bien lorsque leur siege était cité d'antin , sur la plaque était
inscrit : Fédération Française de Rugby XV !
-
- Darren Lockyer
- Messages : 8700
- Enregistré le : 11 sept. 2004, 15:29
- Localisation : Bordeaux
Re: Le Prix d'un homme
Alors ça, tu m'étonnes beaucoup :!:
Je ne vois pas pourquoi une Fédé qui s'appelait FFRugby depuis la création des Fédérations sportives aurait changé de nom...sous prétexte qu'un concurrent schismatique serait apparu...il aurait fallu pour ça une décision de Justice...qui justement n'a jamais été demandée par les treizistes.
Par contre le Ministère donne délégation de pouvoir aux Fédérations et il fort possible qu'il y ait eu, à un moment donné, une règlementation précisant :
la FFR a délégation pour le rugby à XV
et la FF de Jeu à XIII a délégation pour le rugby à XIII
C'est possible...
De toute façon dans les années 50 le XIII était très puissant, malgré la dénomination FFJXIII,
et il est fort possible que la FFR ait cru nécessaire à cette époque de préciser 'rugby à XV" sur certains documents, voire plaque de siège, pour qu'il n'y ait pas de confusion.
Je ne vois pas pourquoi une Fédé qui s'appelait FFRugby depuis la création des Fédérations sportives aurait changé de nom...sous prétexte qu'un concurrent schismatique serait apparu...il aurait fallu pour ça une décision de Justice...qui justement n'a jamais été demandée par les treizistes.
Par contre le Ministère donne délégation de pouvoir aux Fédérations et il fort possible qu'il y ait eu, à un moment donné, une règlementation précisant :
la FFR a délégation pour le rugby à XV
et la FF de Jeu à XIII a délégation pour le rugby à XIII
C'est possible...
De toute façon dans les années 50 le XIII était très puissant, malgré la dénomination FFJXIII,
et il est fort possible que la FFR ait cru nécessaire à cette époque de préciser 'rugby à XV" sur certains documents, voire plaque de siège, pour qu'il n'y ait pas de confusion.
-
- Coach
- Messages : 5648
- Enregistré le : 19 juil. 2005, 20:08
Re: Le Prix d'un homme
Jean ,
J'ai contacté Pierre Salviac par mail pour lui demander si a sa connaissance
la FFR s'est toujours appellé FFR où si a l'origine ses statuts n'étaient pas FFRXV ?
S'il me réponds , je communiquerais sa réponse .
je pense qu'il doit savoir !
J'ai contacté Pierre Salviac par mail pour lui demander si a sa connaissance
la FFR s'est toujours appellé FFR où si a l'origine ses statuts n'étaient pas FFRXV ?
S'il me réponds , je communiquerais sa réponse .
je pense qu'il doit savoir !
-
- Coach
- Messages : 5648
- Enregistré le : 19 juil. 2005, 20:08
Re: Le Prix d'un homme
Pierre salviac a eu la gentilesse de me répondre .
en m'indiquant :
" je ne suis pas au courant de cette subtilité , je sais seulement
que le 13 a été victime de Vichy "
en m'indiquant :
" je ne suis pas au courant de cette subtilité , je sais seulement
que le 13 a été victime de Vichy "
-
- Darren Lockyer
- Messages : 15155
- Enregistré le : 02 janv. 2005, 18:42
Re: Le Prix d'un homme
Projections au cinéma le Palace à Lézignan, ouvertes au grand public :
-Mercredi 27 Janvier à 21 h
-Vendredi 29 Janvier à 21h
-Mercredi 27 Janvier à 21 h
-Vendredi 29 Janvier à 21h
-
- Darren Lockyer
- Messages : 15155
- Enregistré le : 02 janv. 2005, 18:42
Re: Le Prix d'un homme
J'ai vu le film hier soir à Lezignan et il est superbe ,n'hésitez pas le visionner vous ne serez pas déçus !!!
La présentation en a été faite, avec maestria , par le tandem reconstitué : Loulou - Rodolphe :D
La présentation en a été faite, avec maestria , par le tandem reconstitué : Loulou - Rodolphe :D
-
- Darren Lockyer
- Messages : 6124
- Enregistré le : 25 mai 2009, 10:28
- Localisation : 66
- Contact :
Le Prix d'un homme : communiqué
Louis Bonnery me prie de diffuser le communiqué suivant :
Programme des diffusions réservées aux membres du rugby à XIII : Joueurs, Dirigeants, Arbitres, Supporters, Amis et sympathisants.
FILM : LE PRIX D’UN HOMME
Réalisé par Lindsay Anderson
LIMOUX : Mardi 2 février, 20H30, CINEMA L’ELYSEE
PERPIGNAN : Jeudi 4 février, 21H, CINEMA CASTILLET RIVE GAUCHE (centre ville)
CARCASSONNE : Vendredi 5 Mars, 20H30, CINEMA COLISEE (centre ville)
Ces projections sont soutenues et organisées avec le concours des Municipalités , Ligue Languedoc Roussillon de Rugby à XIII, Comités départementaux de l’Aude et des Pyrénées Orientales et Clubs locaux de Rugby à XIII. Des débats seront organisés avant ou à l’issue des projections. Informations disponibles sur le site de la LLRR13 : http://www.llrr13.fr" onclick="window.open(this.href);return false;
Programme des diffusions réservées aux membres du rugby à XIII : Joueurs, Dirigeants, Arbitres, Supporters, Amis et sympathisants.
FILM : LE PRIX D’UN HOMME
Réalisé par Lindsay Anderson
LIMOUX : Mardi 2 février, 20H30, CINEMA L’ELYSEE
PERPIGNAN : Jeudi 4 février, 21H, CINEMA CASTILLET RIVE GAUCHE (centre ville)
CARCASSONNE : Vendredi 5 Mars, 20H30, CINEMA COLISEE (centre ville)
Ces projections sont soutenues et organisées avec le concours des Municipalités , Ligue Languedoc Roussillon de Rugby à XIII, Comités départementaux de l’Aude et des Pyrénées Orientales et Clubs locaux de Rugby à XIII. Des débats seront organisés avant ou à l’issue des projections. Informations disponibles sur le site de la LLRR13 : http://www.llrr13.fr" onclick="window.open(this.href);return false;
-
- Moderat'OC
- Messages : 5972
- Enregistré le : 30 avr. 2005, 18:28
- Localisation : Lengadòc
Re: Le Prix d'un homme : communiqué
Y a t-il un débat pour la séance à Limoux ?
-
- Président
- Messages : 3258
- Enregistré le : 09 oct. 2006, 22:32
Re: Le Prix d'un homme : communiqué
je v poser une questions betes mais bon : il est en francais ?
-
- Darren Lockyer
- Messages : 15155
- Enregistré le : 02 janv. 2005, 18:42
Re: Le Prix d'un homme : communiqué
sous-titrémetal a écrit :je v poser une questions betes mais bon : il est en francais ?
-
- Darren Lockyer
- Messages : 6124
- Enregistré le : 25 mai 2009, 10:28
- Localisation : 66
- Contact :
Re: Le Prix d'un homme : communiqué
Le mieux est que tu poses directement la question à Louis Bonnery. Son mail est ici :scarface a écrit :Y a t-il un débat pour la séance à Limoux ?
http://www.llrr13.fr/index1.php?n1=ligue&n2=conta" onclick="window.open(this.href);return false;
-
- Présidente
- Messages : 3594
- Enregistré le : 17 août 2004, 15:20
- Localisation : Limoux
- Contact :
Re: Le Prix d'un homme : communiqué
Pour le débat je garantie pas, peut-être à la projection du 2/02/2010 mais attention elle est réservée au club et supporters : http://www.limoux13.com/index.php" onclick="window.open(this.href);return false;scarface a écrit :Y a t-il un débat pour la séance à Limoux ?
Sinon il y a une projection dès ce soir au cinéma L'Elysée à Limoux pour ceux que ça interresse. Edition Indépendant de ce jour :
Cinéma CINEMA Du rugby à l'Elysée
Un film consacré au XIII est projeté à l'Elysée à partir de ce soir. Ce long métrage, réalisé par Lindsay Anderson en 1963, n'avait jamais été projeté en France jusqu'en décembre dernier. Richard Harris y joue le rôle d'un mineur qui voit son statut social grimper grâce au rugby à XIII. L'histoire est tirée d'un roman de David Storey ("This sporting life"). L'amicale des anciens se réjouit de pouvoir voir ce film. Mais, pour Louis Bonnery, "il faut désillusionner le public : ce n'est pas un reportage sur le jeu, mais un film qui appartient à la culture du XIII".
L'amicaledes anciens invite les joueurs de XIII qui souhaitent voir le film de choisir plutôt mardi, à 18 h 30, pour se réunir autour du film. Projections : samedi à 21 h, dimanche à 17 h, mardi à 18 h 30.
-
- Darren Lockyer
- Messages : 10634
- Enregistré le : 02 août 2009, 09:17
- Localisation : à 32kms des escrocs de la mascarade.
Re: Le Prix d'un homme : communiqué
en tant que cinéphile plutot averti je trouve évidemment plus opportun de diffuser cette oeuvre en vost.corbieres13 a écrit :sous-titrémetal a écrit :je v poser une questions betes mais bon : il est en francais ?