le projet de M DAYAN où en est on?
Modérateur : Mod. Hexa
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Re: le projet de M DAYAN où en est on?
soyons optimistes un peu
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Re: le projet de M DAYAN où en est on?
Pourtant tu semblais y croire, tu en parlais tout le temps!meningasudouest a écrit :l 'idée est excellente je pense , mais en avons nous les moyens humains et financiers ? on est entre nous la , entre treizistes , d ' ici cet été il faudrait trouver 13 groupes de dirigeants dans 13 régions ( certaines ou il n y a meme pas un club de rugby à 13 ), 13 groupes de 22 ou 23 joueurs ( sans les joueurs des dragons et du to puisque c'est l' été , de plus dans certaines régions ou il n y a pas un seul joueur treiziste ! ), 13 staff au moins de 3 personnes , 13 stades , etc ... et pour rémunérer tout ce monde ( et récupérer des quinzistes) au moins 1 million d'euros par équipe pour 3 mois ! voila le projet Dayan , vous y croyez vous ? ( eric Tarroux était rentré + dans le détail que moi il y a quelques semaines )
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- Darren Lockyer
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Re: le projet de M DAYAN où en est on?
et oui , mais le temps passe et à ma connaissance pas grand chose à l horizon; mais je trouve toujours l 'idée excellente mais nous n en avons pas les moyens ; a+
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- Darren Lockyer
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Re: le projet de M DAYAN où en est on?
Le projet Dayan s'il se realise est un super projet pour le Rugby à 13 francais.
Je te rappelle Meninga qu'il ne s'agit pas pour nous d'avoir les moyens puisqu'il s'agit de la création de nouveaux clubs adossé a des clubs de foot de ligue 2,et donc pris en charge par eux.Rien que 2 ou 3 nouveaux clubs rafraîchirait considérablement notre championnat et meme le révolutionnerait.
Si tu veux en savoir plus il faut contacter Mr Palanques,Mr Dayan ou les Présidents de ligue 2 de foot.
Je te rappelle Meninga qu'il ne s'agit pas pour nous d'avoir les moyens puisqu'il s'agit de la création de nouveaux clubs adossé a des clubs de foot de ligue 2,et donc pris en charge par eux.Rien que 2 ou 3 nouveaux clubs rafraîchirait considérablement notre championnat et meme le révolutionnerait.
Si tu veux en savoir plus il faut contacter Mr Palanques,Mr Dayan ou les Présidents de ligue 2 de foot.
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Re: le projet de M DAYAN où en est on?
L'idée n'est pas à rejeter mais là où je cale c'est quand on annonce 13 équipes !
Il aurait été plus sage de partir sur une base de 8 équipes représentant des zones où le XIII est implanté et non des régions où même dans les années 50 il n'y a jamais eu le moindre treiziste.
Ensuite, il serait maintenant temps de nous en dire plus sur ce projet qui ne s'organise pas en une semaine. L'été 2019 sera vite là ...
Il aurait été plus sage de partir sur une base de 8 équipes représentant des zones où le XIII est implanté et non des régions où même dans les années 50 il n'y a jamais eu le moindre treiziste.
Ensuite, il serait maintenant temps de nous en dire plus sur ce projet qui ne s'organise pas en une semaine. L'été 2019 sera vite là ...
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Re: le projet de M DAYAN où en est on?
Moi j’y crois ..
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Re: le projet de M DAYAN où en est on?
moi aussi
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- Darren Lockyer
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Re: le projet de M DAYAN où en est on?
je ne souhaite qu 'une chose , que cela marche ! après chacun est libre de croire à la réalisation ou non ! a+TOMATE a écrit :Le projet Dayan s'il se realise est un super projet pour le Rugby à 13 francais.
Je te rappelle Meninga qu'il ne s'agit pas pour nous d'avoir les moyens puisqu'il s'agit de la création de nouveaux clubs adossé a des clubs de foot de ligue 2,et donc pris en charge par eux.Rien que 2 ou 3 nouveaux clubs rafraîchirait considérablement notre championnat et meme le révolutionnerait.
Si tu veux en savoir plus il faut contacter Mr Palanques,Mr Dayan ou les Présidents de ligue 2 de foot.
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- Darren Lockyer
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Re: le projet de M DAYAN où en est on?
Celà fait un moment que je le prédis.
J'ai pas de mal: il suffit de regarder ce qui se fait aux USA, entre 10 à 20 aprés celà arrive en Europe.
La SL avait des décennies d'avance en tant que compétition du vieux continent.
J'ai pas de mal: il suffit de regarder ce qui se fait aux USA, entre 10 à 20 aprés celà arrive en Europe.
La SL avait des décennies d'avance en tant que compétition du vieux continent.
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Re: le projet de M DAYAN où en est on?
Du vent.......
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- Darren Lockyer
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- Darren Lockyer
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Re: le projet de M DAYAN où en est on?
Si la ligue des champions devient une compétition fermée, les compétitions nationales feront de meme à la longue pour survivre.
Exemple: le basket qui prend cette voie.
Aprés avec Dayan ou pas, c'est une autre histoire...
Exemple: le basket qui prend cette voie.
Aprés avec Dayan ou pas, c'est une autre histoire...
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Re: le projet de M DAYAN où en est on?
Ce sera la prochaine promesse lors des élections fédérales de 2020. :lol:
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- Darren Lockyer
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Re: le projet de M DAYAN où en est on?
Dayan ou pas il est urgent de solutionner le probleme de la ler et du treize francais en general, hors dragons et to
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- Darren Lockyer
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Re: le projet de M DAYAN où en est on?
et bien justement pourquoi les dragons et le To n 'aideraient pas à le résoudre ce problème en France ! je viens d'écouter sur sud radio richard Hill, un des dirigeants ( ou entraineur je sais pas ) de Rouen qui monte pour la 1ere fois en prod 2 à 15 ! il a bien précisé que ce club loin de tout a aidé a la création de clubs dans le 76 ( présence régulière de dirigeants et d'éducateurs dans plusieurs clubs autour , aide à la création de nouveau , etc ...) et la montée et les résultats de Rouen sert de locomotive !
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- Darren Lockyer
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Re: le projet de M DAYAN où en est on?
Les dragons et le to ne posent pas problème car ils ont leur projet très clair qui fonctionne pour les drags et à la air de se mettre en place pour le to. Les deux clubs ne dependen'dent pas de la fd.
C est tout ce qui dépend de la fd ler etc qui doit bénéficier de un projet revitalisant
C est tout ce qui dépend de la fd ler etc qui doit bénéficier de un projet revitalisant
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Re: le projet de M DAYAN où en est on?
Effectivement c'est un exemple à suivre pour développer mais il faut également rappeler le budget 2018/19. De 4,8 millions d'eurosmeningasudouest a écrit : ↑26 mai 2019, 09:35et bien justement pourquoi les dragons et le To n 'aideraient pas à le résoudre ce problème en France ! je viens d'écouter sur sud radio richard Hill, un des dirigeants ( ou entraineur je sais pas ) de Rouen qui monte pour la 1ere fois en prod 2 à 15 ! il a bien précisé que ce club loin de tout a aidé a la création de clubs dans le 76 ( présence régulière de dirigeants et d'éducateurs dans plusieurs clubs autour , aide à la création de nouveau , etc ...) et la montée et les résultats de Rouen sert de locomotive !
Un tel budget aide à envoyer des entraîneurs, éducateurs dans la région pour développer la discipline puisqu'ils sont salariés du clubs. Il est plus difficile de le faire avec des bénévoles
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- Darren Lockyer
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Re: le projet de M DAYAN où en est on?
incomparable, leur maillage du terrain leur permet a ce jour des actions qui ne sont pas anotre portée, dans les conditions actuelles.
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- Darren Lockyer
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Re: le projet de M DAYAN où en est on?
a bon ? donc si je comprends bien , le To et les dragons ne peuvent aider a créer des clubs autour d'eux ?
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- Darren Lockyer
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Re: le projet de M DAYAN où en est on?
Les Dragons et à un degré moindre le TO sont deux clubs de la Rugby League qui suivent un chemin ascendant et sont les 2 arbres qui cachent la triste réalité de la fédération française. Le projet Dayan devait démarrer cet été... Notre fédé essaie de masquer son échec en mettant en avant les deux clubs précités, et en nous promettant du nouveau pour... après les élections 2020. Écran de fumée qui ne trompe plus grand monde , hélas !
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- Darren Lockyer
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Re: le projet de M DAYAN où en est on?
ils ont d autres chats a fouetter, par contre leur image peut etre aidantemeningasudouest a écrit : ↑27 mai 2019, 11:01a bon ? donc si je comprends bien , le To et les dragons ne peuvent aider a créer des clubs autour d'eux ?
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- Darren Lockyer
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Re: le projet de M DAYAN où en est on?
et pourtant tout le monde s y retrouverait a etre plus nombreux ! surtout à Toulouse, a+LIMOUXIN a écrit : ↑27 mai 2019, 12:29ils ont d autres chats a fouetter, par contre leur image peut etre aidantemeningasudouest a écrit : ↑27 mai 2019, 11:01a bon ? donc si je comprends bien , le To et les dragons ne peuvent aider a créer des clubs autour d'eux ?
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- Darren Lockyer
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Re: le projet de M DAYAN où en est on?
le monde septembre 2017
Ce nombre pourrait leur porter bonheur. Pour relancer le rugby à XIII partout en France, quel meilleur prétexte que la réforme territoriale qui a réduit le nombre de régions métropolitaines de 22 à 13, l’an passé ? Une équipe pour chaque région : tel est le projet du « Super XIII », nouvelle compétition qui pourrait débuter dès 2019, en complément du championnat de France.
Conseiller auprès de la Fédération française de rugby à XIII (FFR XIII) depuis six mois, Luc Dayan a annoncé ce projet au Monde avant le congrès fédéral, samedi 2 septembre, au Barcarès (Pyrénées-Orientales). L’homme a de la patience : il y a cinq ans, dans le cadre d’une mission ponctuelle, il projetait déjà la création d’une compétition du même nom. En vain.
Avec les clubs de football, Luc Dayan a l’habitude des missions difficiles : en parallèle, il tente de restructurer le Sporting club de Bastia, relégué en cinquième division, après des passages inégaux à la direction de Lille, Nantes, Strasbourg ou Lens.
Que dire, alors, du rugby à XIII ? En 1941, sous l’Occupation, le gouvernement de Vichy publiait un décret portant dissolution de la Ligue française de rugby à XIII. En cause : la volonté de bannir le professionnalisme dans le sport, et surtout l’insistance de dirigeants du XV alors désireux d’évincer leurs rivaux du XIII.
Aujourd’hui, après avoir failli disparaître, les treizistes restent dans l’ombre de leurs « frères ennemis » quinzistes. D’un côté, la « fédé » de rugby à XV et ses quelque 272 000 licenciés. De l’autre, celle du XIII et ses 11 000 licenciés. Sous-médiatisée, la FFR XIII se circonscrit à la région de l’Occitanie. « Si notre rugby ne bouge pas de là, il va mourir », prévient Marc Palanques, ex-capitaine de la sélection nationale, élu président de la fédération treiziste il y a un an.
Dans quels stades ?
Facile d’identifier les treize régions de France métropolitaine où se tiendrait le Super XIII. Reste à trouver une ville et un stade pour chacune d’entre elles. En attendant, chaque équipe aurait déjà son petit surnom, selon le projet : les Menhirs de Bretagne, les Vignerons de Nouvelle-Aquitaine, les Tisonniers des Hauts-de-France…
« Il nous faut des grandes équipes dans des grandes villes », annonce Marc Palanques. Le Carcassonnais espère trouver refuge dans des stades de football. « Les footballeurs et les treizistes ont le même amour pour la pelouse », ajoute-t-il. Sous-entendu : les treizistes épargneraient ces mêmes pelouses que les quinzistes menaceraient de leurs crampons.
En 2012, Luc Dayan avait déjà tenté une expérience similaire. Alors président du Racing club de Lens, l’équipe football locale, il avait ouvert les portes du stade Bollaert à l’équipe de France de rugby à XIII face au Pays de Galles.
Deux décennies plus tôt, M. Dayan avait déjà entrepris un rapprochement de courte durée entre le football et le rugby à XIII. En collaboration avec Canal +, le Paris-Saint-Germain avait monté la première équipe française de Super League Europe, le PSG Rugby League. L’expérience a duré seulement deux saisons, sur la pelouse parisienne du stade Charléty (1996 et 1997).
Avec quels joueurs ?
S’il trouve les financements nécessaires, le Super XIII se déroulerait chaque été à partir de 2019, sur une période de treize semaines. L’idée étant de l’organiser entre juin et août, dans le prolongement du championnat de France, qui se tiendrait de décembre à juin. Chaque équipe rencontrerait une fois les douze autres, avec la perspective d’une place en demi-finales puis en finale.
Encore faut-il, malgré des calendriers déjà surchargés, compter des joueurs volontaires pour composer ces équipes… Les premiers visés restent ceux des dix clubs d’Elite 1, le championnat de France semi-professionnel de rugby treiziste. Mais la FFR XIII espère aussi attirer des jeunes joueurs de rugby à XV, en manque de temps de jeu dans des effectifs professionnels surpeuplés. « J’ai déjà appelé plusieurs présidents de clubs professionnels de rugby à XV, ils se disent très contents de pouvoir faire participer certains de leurs joueurs », assure Luc Dayan.
Ce dernier a prévenu Robins Tchale-Watchou. Le président de Provale, syndicat des joueurs quinzistes, promet de jouer le jeu pour faciliter aussi la participation de quinzistes au chômage. Dans le même temps, nouveauté à souligner, l’ancien joueur de Montpellier a prévu de permettre aux treizistes d’adhérer à son syndicat.
Avec quel financement ?
Ces équipes régionales fonctionneraient sous forme de franchises. Elles appartiendraient toutes à une seule et même structure, adossée à la fédération française treiziste, qui embaucherait des joueurs en contrats à durée déterminée de quatre six mois. Luc Dayan envisage des salaires mensuels de « 3 000 à 5 000 euros » avec un système de salary cap (plafond salarial).
L’entrepreneur imagine pour la compétition un budget de fonctionnement allant jusqu’à 15 millions d’euros par an. Soit bien davantage que la somme avec laquelle se débrouille jusque-là la FFR XIII chaque saison (un peu plus de 2 millions d’euros annuels). Il compte sur les recettes liées « aux spectateurs, au sponsoring, aux télés, aux subventions. Je vais notamment aller voir Philippe Richert [président de l’Association des régions de France] pour lui parler du projet. »
L’homme d’affaires envisage aussi un partenariat avec une chaîne de télévision à déterminer, et le choix d’un même équipementier pour toutes les équipes. En juin, c’est L’Equipe 21 qui a diffusé la finale du championnat de France écoulé : victoire de Limoux contre Lézignan, à Narbonne.
Avec quel objectif ?
La France court toujours après un rêve, à XV comme à XIII : gagner la Coupe du monde. « Il faut que les deux rugbys se parlent », estime Marc Palanques, qui a déjà pris le temps d’appeler Bernard Laporte, son homologue quinziste.
A partir de la fin du mois d’octobre, les treizistes français tenteront de faire bonne figure à la Coupe du monde 2017. Ils joueront leurs premiers matchs en Australie et en Nouvelle-Zélande, deux pays qui ont déjà remporté le trophée : dix titres pour les Australiens, un pour les Néo-Zélandais, et trois pour les Britanniques.
Ce nombre pourrait leur porter bonheur. Pour relancer le rugby à XIII partout en France, quel meilleur prétexte que la réforme territoriale qui a réduit le nombre de régions métropolitaines de 22 à 13, l’an passé ? Une équipe pour chaque région : tel est le projet du « Super XIII », nouvelle compétition qui pourrait débuter dès 2019, en complément du championnat de France.
Conseiller auprès de la Fédération française de rugby à XIII (FFR XIII) depuis six mois, Luc Dayan a annoncé ce projet au Monde avant le congrès fédéral, samedi 2 septembre, au Barcarès (Pyrénées-Orientales). L’homme a de la patience : il y a cinq ans, dans le cadre d’une mission ponctuelle, il projetait déjà la création d’une compétition du même nom. En vain.
Avec les clubs de football, Luc Dayan a l’habitude des missions difficiles : en parallèle, il tente de restructurer le Sporting club de Bastia, relégué en cinquième division, après des passages inégaux à la direction de Lille, Nantes, Strasbourg ou Lens.
Que dire, alors, du rugby à XIII ? En 1941, sous l’Occupation, le gouvernement de Vichy publiait un décret portant dissolution de la Ligue française de rugby à XIII. En cause : la volonté de bannir le professionnalisme dans le sport, et surtout l’insistance de dirigeants du XV alors désireux d’évincer leurs rivaux du XIII.
Aujourd’hui, après avoir failli disparaître, les treizistes restent dans l’ombre de leurs « frères ennemis » quinzistes. D’un côté, la « fédé » de rugby à XV et ses quelque 272 000 licenciés. De l’autre, celle du XIII et ses 11 000 licenciés. Sous-médiatisée, la FFR XIII se circonscrit à la région de l’Occitanie. « Si notre rugby ne bouge pas de là, il va mourir », prévient Marc Palanques, ex-capitaine de la sélection nationale, élu président de la fédération treiziste il y a un an.
Dans quels stades ?
Facile d’identifier les treize régions de France métropolitaine où se tiendrait le Super XIII. Reste à trouver une ville et un stade pour chacune d’entre elles. En attendant, chaque équipe aurait déjà son petit surnom, selon le projet : les Menhirs de Bretagne, les Vignerons de Nouvelle-Aquitaine, les Tisonniers des Hauts-de-France…
« Il nous faut des grandes équipes dans des grandes villes », annonce Marc Palanques. Le Carcassonnais espère trouver refuge dans des stades de football. « Les footballeurs et les treizistes ont le même amour pour la pelouse », ajoute-t-il. Sous-entendu : les treizistes épargneraient ces mêmes pelouses que les quinzistes menaceraient de leurs crampons.
En 2012, Luc Dayan avait déjà tenté une expérience similaire. Alors président du Racing club de Lens, l’équipe football locale, il avait ouvert les portes du stade Bollaert à l’équipe de France de rugby à XIII face au Pays de Galles.
Deux décennies plus tôt, M. Dayan avait déjà entrepris un rapprochement de courte durée entre le football et le rugby à XIII. En collaboration avec Canal +, le Paris-Saint-Germain avait monté la première équipe française de Super League Europe, le PSG Rugby League. L’expérience a duré seulement deux saisons, sur la pelouse parisienne du stade Charléty (1996 et 1997).
Avec quels joueurs ?
S’il trouve les financements nécessaires, le Super XIII se déroulerait chaque été à partir de 2019, sur une période de treize semaines. L’idée étant de l’organiser entre juin et août, dans le prolongement du championnat de France, qui se tiendrait de décembre à juin. Chaque équipe rencontrerait une fois les douze autres, avec la perspective d’une place en demi-finales puis en finale.
Encore faut-il, malgré des calendriers déjà surchargés, compter des joueurs volontaires pour composer ces équipes… Les premiers visés restent ceux des dix clubs d’Elite 1, le championnat de France semi-professionnel de rugby treiziste. Mais la FFR XIII espère aussi attirer des jeunes joueurs de rugby à XV, en manque de temps de jeu dans des effectifs professionnels surpeuplés. « J’ai déjà appelé plusieurs présidents de clubs professionnels de rugby à XV, ils se disent très contents de pouvoir faire participer certains de leurs joueurs », assure Luc Dayan.
Ce dernier a prévenu Robins Tchale-Watchou. Le président de Provale, syndicat des joueurs quinzistes, promet de jouer le jeu pour faciliter aussi la participation de quinzistes au chômage. Dans le même temps, nouveauté à souligner, l’ancien joueur de Montpellier a prévu de permettre aux treizistes d’adhérer à son syndicat.
Avec quel financement ?
Ces équipes régionales fonctionneraient sous forme de franchises. Elles appartiendraient toutes à une seule et même structure, adossée à la fédération française treiziste, qui embaucherait des joueurs en contrats à durée déterminée de quatre six mois. Luc Dayan envisage des salaires mensuels de « 3 000 à 5 000 euros » avec un système de salary cap (plafond salarial).
L’entrepreneur imagine pour la compétition un budget de fonctionnement allant jusqu’à 15 millions d’euros par an. Soit bien davantage que la somme avec laquelle se débrouille jusque-là la FFR XIII chaque saison (un peu plus de 2 millions d’euros annuels). Il compte sur les recettes liées « aux spectateurs, au sponsoring, aux télés, aux subventions. Je vais notamment aller voir Philippe Richert [président de l’Association des régions de France] pour lui parler du projet. »
L’homme d’affaires envisage aussi un partenariat avec une chaîne de télévision à déterminer, et le choix d’un même équipementier pour toutes les équipes. En juin, c’est L’Equipe 21 qui a diffusé la finale du championnat de France écoulé : victoire de Limoux contre Lézignan, à Narbonne.
Avec quel objectif ?
La France court toujours après un rêve, à XV comme à XIII : gagner la Coupe du monde. « Il faut que les deux rugbys se parlent », estime Marc Palanques, qui a déjà pris le temps d’appeler Bernard Laporte, son homologue quinziste.
A partir de la fin du mois d’octobre, les treizistes français tenteront de faire bonne figure à la Coupe du monde 2017. Ils joueront leurs premiers matchs en Australie et en Nouvelle-Zélande, deux pays qui ont déjà remporté le trophée : dix titres pour les Australiens, un pour les Néo-Zélandais, et trois pour les Britanniques.
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- Darren Lockyer
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Re: le projet de M DAYAN où en est on?
Et si treize mondial réussissait a avoir une interview de m dayan?
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- Darren Lockyer
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Re: le projet de M DAYAN où en est on?
Ça tourne à l’obsession. Y a un post pour çameningasudouest a écrit : ↑29 mai 2019, 11:03et a y etre dans le domaine du reve de mr Lasserre ( dirigeant du nouveau club à Montpellier ). Et encore une fois je répète ,je ne demande que cela, que ce projet marche !
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Re: le projet de M DAYAN où en est on?
M.Dayan a certainement eu un projet et a eu certainement envie de nous aider, mais franchement, comment aurions nous fait pour être tous sur la même longueur d'ondes? Nous passons notre vie de Treiziste à nous chamailler! Qui venu d'ailleurs pourrait nous supporter?
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- Darren Lockyer
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Re: le projet de M DAYAN où en est on?
qui aurait cru les dragons? il a fallu attendre la mort de st esteve et des catalans pour arriver a arreter la guerre catalo catalane
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Re: le projet de M DAYAN où en est on?
Ayant eu la chance de vivre de l'intérieur l'intégralité de cette merveilleuse aventure, si nous sommes arrivés à un tel aboutissement, c'est parce que nous sommes restés toujours unis, même quand il y a eu des périodes difficiles!