Allons chercher à l’étranger notre prochain président
Posté : 26 juin 2020, 16:17
Face à l'inextricable équation d'un nouveau leader pour le mouvement treiziste en France, entre le rêve d'un personnage extérieur influent et celui d'un homme de consensus interne, une troisième voie semble la plus sage. Certes peut-être la plus audacieuse, mais qu'avons-nous à perdre finalement?
Cette troisième voie, c'est d'aller chercher à l'étranger notre nouvel homme fort. Britannique, australien, Néo zélandais, ayant fait preuve chez lui de sa capacité de management au niveau d'un club, d'une fédé, d'administration du mouvement. Un Francophile connaissant un peu la maison serait un plus.
Cette solution a beaucoup d'avantage. Cela permettra un regard neuf et neutre sur le mouvement et les hommes, évitera les conflits de clochers, apportera une expertise dans ces domaines de compétences. Il sera à même de moderniser les structures au regard de ses expériences, de son vécu.
De nombreuses formes juridiques ou administratives pourraient faire en sorte que dans les faits ce soit lui qui dirige, même sous le patronage d'un consensus national.
Cette troisième voie, c'est d'aller chercher à l'étranger notre nouvel homme fort. Britannique, australien, Néo zélandais, ayant fait preuve chez lui de sa capacité de management au niveau d'un club, d'une fédé, d'administration du mouvement. Un Francophile connaissant un peu la maison serait un plus.
Cette solution a beaucoup d'avantage. Cela permettra un regard neuf et neutre sur le mouvement et les hommes, évitera les conflits de clochers, apportera une expertise dans ces domaines de compétences. Il sera à même de moderniser les structures au regard de ses expériences, de son vécu.
De nombreuses formes juridiques ou administratives pourraient faire en sorte que dans les faits ce soit lui qui dirige, même sous le patronage d'un consensus national.