Court, moyen ou long terme

[gefriche]

L’une des nombreuses difficultés qu’il faut surmonter pour modifier une organisation consiste à en faire l’audit pour déterminer les structures qui seraient adaptées aux objectifs à atteindre et celles qu’il conviendrait de réformer, de supprimer ou de créer.

Par conséquent, on le voit ici, il convient d’abord de définir les objectifs à atteindre à court, moyen ou long terme.

Puis de procéder à un audit exhaustif qui permettra de choisir les actions à mettre en œuvre, de créer un plan d’action et surtout d’en suivre pas à pas le déroulement pour l’actualiser.

Mais ce qui précède, même s’il est essentiel, est très loin d’être suffisant. La principale difficulté est d’obtenir le concours des personnes touchées par les modifications et les changements qui adviendront.

Car sans leurs accords et leurs participations actives, l’ensemble du processus est voué à l’échec.

Dans le cas qui nous occupe, on dénombre 11000 personnes touchées dont un peu moins de 7000 joueuses et joueurs de rugby à XIII auxquels il convient d’ajouter les familles de chacune de ces 11000 personnes.

En effet, les raisons de la résistance au changement sont nombreuses, notamment :
La peur de l’inconnu,
La relation personnelle de chacun avec les anciennes manières de faire,
La rupture de la routine – (perte de la zone de confort),
Le manque de confiance,
Une mauvaise compréhension du sens du changement – (d’autant plus si de nombreuses personnes considèrent le modèle en place comme efficace, et ce depuis longtemps !),
L’absence de consultation des personnes concernées,
Une mauvaise communication ( ou son absence),
Le manque de compétences – (toute transformation nécessite une évolution des compétences).

La mise en place d’un processus d’acculturation permet d’atténuer beaucoup d’aspects de la résistance au changement. Vous pouvez donc diffuser des contenus d’apprentissage, organiser des ateliers ou des formations, tout ça dans le but d’expliquer :

Pourquoi le changement est nécessaire,
Quel est le sens du projet de transformation,
Comment il va s’opérer,
Quel est l’intérêt personnel de chacun à se lancer dans la transformation.

Pour nourrir vos réflexions
Amitiés treizistes

[LIMOUXIN]

L’une des nombreuses difficultés qu’il faut surmonter pour modifier une organisation consiste à en faire l’audit pour déterminer les structures qui seraient adaptées aux objectifs à atteindre et celles qu’il conviendrait de réformer, de supprimer ou de créer.

Par conséquent, on le voit ici, il convient d’abord de définir les objectifs à atteindre à court, moyen ou long terme.

Puis de procéder à un audit exhaustif qui permettra de choisir les actions à mettre en œuvre, de créer un plan d’action et surtout d’en suivre pas à pas le déroulement pour l’actualiser.

Mais ce qui précède, même s’il est essentiel, est très loin d’être suffisant. La principale difficulté est d’obtenir le concours des personnes touchées par les modifications et les changements qui adviendront.

Car sans leurs accords et leurs participations actives, l’ensemble du processus est voué à l’échec.

Dans le cas qui nous occupe, on dénombre 11000 personnes touchées dont un peu moins de 7000 joueuses et joueurs de rugby à XIII auxquels il convient d’ajouter les familles de chacune de ces 11000 personnes.

En effet, les raisons de la résistance au changement sont nombreuses, notamment :
La peur de l’inconnu,
La relation personnelle de chacun avec les anciennes manières de faire,
La rupture de la routine – (perte de la zone de confort),
Le manque de confiance,
Une mauvaise compréhension du sens du changement – (d’autant plus si de nombreuses personnes considèrent le modèle en place comme efficace, et ce depuis longtemps !),
L’absence de consultation des personnes concernées,
Une mauvaise communication ( ou son absence),
Le manque de compétences – (toute transformation nécessite une évolution des compétences).

La mise en place d’un processus d’acculturation permet d’atténuer beaucoup d’aspects de la résistance au changement. Vous pouvez donc diffuser des contenus d’apprentissage, organiser des ateliers ou des formations, tout ça dans le but d’expliquer :

Pourquoi le changement est nécessaire,
Quel est le sens du projet de transformation,
Comment il va s’opérer,
Quel est l’intérêt personnel de chacun à se lancer dans la transformation.

Pour nourrir vos réflexions
Amitiés treizistes

+1

[mike11]

Si demain tu lances une etude avec une enquete statistique je pense que tout le monde jouera le jeu.
Il y aura sans doute des résistances aux changements mais pas à cette étape..

[Néo13]

Ce que je pourrais imaginer comme "résistance au changement" serait par exemple que la FFRXIII dispose de fonds (on peut rêver) et qu'elle décide de les attribuer à des projets qu'elle estime prioritaires (comme le développement de clubs dans des grandes villes, Pacifique XIII, le XIII universitaire...). Les "petits clubs historiques" auraient peut-être du mal à l'accepter...