france 26 irlande 18
Modérateur : Mod. Hexa
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france 26 irlande 18
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l'independant du 2 novembre
D'abord grippé en défense, à l'image de Carrasco, Frayssinous et Banquet, souffrant depuis la veille de maux de gorge ou de tête, le XIII de France faillit encaisser d'entrée un essai du troisième ligne Tommy Gallagher (remplaçant Mc Menemy, blessé une semaine plus tôt à Glasgow).
Mais ce n'était heureusement que très passager, et une passe de Rinaldi faisait bientôt le bonheur de Banquet, pour un premier essai en coin. Malgré les éclairs zébrant le ciel irlandais, en l'honneur d'Halloween, on attendait en vain le feu d'artifice vert, qui ne serait tiré qu'après la pause, alors que les salves bleues inquiétaient fréquemment l'arrière-garde locale. Banquet parcourait 60 mètres sans la réussite escomptée, mais sur le tenu suivant, un renversement arrivait à point nommé sur Jampy. Et de deux ! La nuit sentait de plus en plus la poisse, pour une formation irlandaise trop souvent prise à la gorge par des tricolores bien en, place défensivement, et hardis balle en mains.
Fautes irlandaises. On soi pourtant que les Irlandais ont du, coeur, et ils allaient le montrer, même si dans leur emportement ils allaient parfois plus vite que la musique. Le contraire d'un rival au rugby plus posé, et ne souffrant pas exagérément d'automatismes malmenés par une préparation incertaine, fruit d'une équipe de France coupée en deux Fespace de dix jours (Coupe de la Méditerranée d'un côté, match contre l'Australie de l'autre).
de Contrôle des fichiers jointsSi vous cliquez sur Joindre un fichier, vous apercevrez une boîte deLes "Wolfhounds" avaient ainsi commis davantage de fautes de main que leurs adversaires, dans cette première mi?temps très vivante, mais avaient opposé une vi?ve résistance à des Français aggravant la marqué par Sirvent, au relais d'un duo savant orchestré par Rinaldi et Frayssinous (16-0 en moins d'une demi-heure).
Même les jambes de Sirvent allaient plus vite que celles du pourtant réputé arrière de Leeds, Francis Cers, et on ne pouvait rêver meilleur scénario en faveur des Bleus : 20-0. Puis 26-0 avec une charge de Jampy poursuivie par Frayssinous, dont le crochet laissait Cers sur place.
Guisset et Gay blessés. La veille, en visionnant la cassette du dernier Ecosse-Irlande, les tricolores avaient constaté que si la vivacité des hommes de Daryl Powell ne pouvait être remise en cause, leurs avants, par contre, avaient souvent été malmenés par un pack adverse plus robuste. Et comme celui présenté par la France n'était surtout pas d'opérette, l'Irlande n'avait . hier rien à espérer, malgré la perte, en face, de Guisset et Gay, claqués au bout d'une demi-heure. A la reprise, malgré des placages bleus destinés à faire passer aux Irlandais leur envie des grands espaces, Stewart trouvait rapidement la faille. Transformés, ces derniers se hissaient enfin au niveau dé leurs rivaux, qui passaient un sale quart d'heure.
Mais l'orage ne provoquait cependant pas la foudre, en dépit de deux essais rageurs, signés Ring et Cummin Les "Verts" s'étaient montrés plus incisifs que nos représentants;en second mi-temps, à l'instar de Climng et Cantillon, intenables sur la fin, mais les placages français avaient souvent semé le désordre dans leur dispositif.
D'abord grippé en défense, à l'image de Carrasco, Frayssinous et Banquet, souffrant depuis la veille de maux de gorge ou de tête, le XIII de France faillit encaisser d'entrée un essai du troisième ligne Tommy Gallagher (remplaçant Mc Menemy, blessé une semaine plus tôt à Glasgow).
Mais ce n'était heureusement que très passager, et une passe de Rinaldi faisait bientôt le bonheur de Banquet, pour un premier essai en coin. Malgré les éclairs zébrant le ciel irlandais, en l'honneur d'Halloween, on attendait en vain le feu d'artifice vert, qui ne serait tiré qu'après la pause, alors que les salves bleues inquiétaient fréquemment l'arrière-garde locale. Banquet parcourait 60 mètres sans la réussite escomptée, mais sur le tenu suivant, un renversement arrivait à point nommé sur Jampy. Et de deux ! La nuit sentait de plus en plus la poisse, pour une formation irlandaise trop souvent prise à la gorge par des tricolores bien en, place défensivement, et hardis balle en mains.
Fautes irlandaises. On soi pourtant que les Irlandais ont du, coeur, et ils allaient le montrer, même si dans leur emportement ils allaient parfois plus vite que la musique. Le contraire d'un rival au rugby plus posé, et ne souffrant pas exagérément d'automatismes malmenés par une préparation incertaine, fruit d'une équipe de France coupée en deux Fespace de dix jours (Coupe de la Méditerranée d'un côté, match contre l'Australie de l'autre).
de Contrôle des fichiers jointsSi vous cliquez sur Joindre un fichier, vous apercevrez une boîte deLes "Wolfhounds" avaient ainsi commis davantage de fautes de main que leurs adversaires, dans cette première mi?temps très vivante, mais avaient opposé une vi?ve résistance à des Français aggravant la marqué par Sirvent, au relais d'un duo savant orchestré par Rinaldi et Frayssinous (16-0 en moins d'une demi-heure).
Même les jambes de Sirvent allaient plus vite que celles du pourtant réputé arrière de Leeds, Francis Cers, et on ne pouvait rêver meilleur scénario en faveur des Bleus : 20-0. Puis 26-0 avec une charge de Jampy poursuivie par Frayssinous, dont le crochet laissait Cers sur place.
Guisset et Gay blessés. La veille, en visionnant la cassette du dernier Ecosse-Irlande, les tricolores avaient constaté que si la vivacité des hommes de Daryl Powell ne pouvait être remise en cause, leurs avants, par contre, avaient souvent été malmenés par un pack adverse plus robuste. Et comme celui présenté par la France n'était surtout pas d'opérette, l'Irlande n'avait . hier rien à espérer, malgré la perte, en face, de Guisset et Gay, claqués au bout d'une demi-heure. A la reprise, malgré des placages bleus destinés à faire passer aux Irlandais leur envie des grands espaces, Stewart trouvait rapidement la faille. Transformés, ces derniers se hissaient enfin au niveau dé leurs rivaux, qui passaient un sale quart d'heure.
Mais l'orage ne provoquait cependant pas la foudre, en dépit de deux essais rageurs, signés Ring et Cummin Les "Verts" s'étaient montrés plus incisifs que nos représentants;en second mi-temps, à l'instar de Climng et Cantillon, intenables sur la fin, mais les placages français avaient souvent semé le désordre dans leur dispositif.
Modifié en dernier par El director le 02 nov. 2003, 11:22, modifié 1 fois.
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les commentaires d'aprés match
l'independant du 2 novembre
herve guiraud "Les Bleus il ont été parfaits en 1 re mi-temps, ne com
mettant que de très rares fautes tout en s'appuyant sur une condition physique irréprochable. Souvent pris de vitesse, les Irlandais
n'ont pu que constater les dégâts mais se sont souvent montrés dangereux après la pause
yvan greseque
Les Tricolores ont été disciplinés en 1 re période, n'ayant concédé qu'une pénalité. Preuve que le sérieux paie. Ils ont été le plus souvent au bout des chaînes tactiques, restant concentrés malgré l'ampleur du .score et la superbe remontée de leurs adversaires, dans le second acte".
Phil Daly, irlandais)
La France a d'abord été majestueuse puis a soufert lorsque les Irlandais sont parvenus à s organiser au plan offensif, provoquant des fautes de main dans les rangs de leurs adversaires, le tout pour une rencontre spectaculaire".
niguel wood responsable slle resultat est à la fois prometteur pour la France et pour l'Irlande. Celle-ci a démontré toute la valeur du fighting spirit, développant un rugby très tonique en 2, mi-temps et servant ainsi les intérêts de la Rugby League dans ce pays, alors que leurs rivaux, au jeu plus abouti ont tué tout suspense avant la pause pour ensuite s'accrocher en défense ".
l'independant du 2 novembre
herve guiraud "Les Bleus il ont été parfaits en 1 re mi-temps, ne com
mettant que de très rares fautes tout en s'appuyant sur une condition physique irréprochable. Souvent pris de vitesse, les Irlandais
n'ont pu que constater les dégâts mais se sont souvent montrés dangereux après la pause
yvan greseque
Les Tricolores ont été disciplinés en 1 re période, n'ayant concédé qu'une pénalité. Preuve que le sérieux paie. Ils ont été le plus souvent au bout des chaînes tactiques, restant concentrés malgré l'ampleur du .score et la superbe remontée de leurs adversaires, dans le second acte".
Phil Daly, irlandais)
La France a d'abord été majestueuse puis a soufert lorsque les Irlandais sont parvenus à s organiser au plan offensif, provoquant des fautes de main dans les rangs de leurs adversaires, le tout pour une rencontre spectaculaire".
niguel wood responsable slle resultat est à la fois prometteur pour la France et pour l'Irlande. Celle-ci a démontré toute la valeur du fighting spirit, développant un rugby très tonique en 2, mi-temps et servant ainsi les intérêts de la Rugby League dans ce pays, alors que leurs rivaux, au jeu plus abouti ont tué tout suspense avant la pause pour ensuite s'accrocher en défense ".
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Et faire des 400 m autour de ton ordinateur et toi Tchoupi autour de ton canapé fétiche
Et Al se contenter de nous parler de cette magnifique bourgade de "Bové" ou il y a un aéroport très beau mais sans avions, qui ne vous emmène pas vers l'Irlande, ses lacs, ses rivières. Tu peux nous en parler des heures, c'est un régal de t'écouter, maintenant que tu as le dos tatoué comme Totof.
Et Al se contenter de nous parler de cette magnifique bourgade de "Bové" ou il y a un aéroport très beau mais sans avions, qui ne vous emmène pas vers l'Irlande, ses lacs, ses rivières. Tu peux nous en parler des heures, c'est un régal de t'écouter, maintenant que tu as le dos tatoué comme Totof.
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- Localisation : ICI C PARIS
Suffit que l'on s'absente 5mn pour que ce soit le bordel.
Si le coach continue de denigrer mes performances sportives je signe à Montgeron. A tout hasard je te rappelle que tu dois veiller sur la bonne sante psychologique de ton troupeau, alors pas de mauvais esprit.
Quand aux autres, si ils venaient un peu plus souvent aux entrainements, ils veraient que le pourcentage d'en avants est en chute libre (et sans les gants de Manolo).
Quand à Al il pourra faire la morale, lorsqu'il aura un guide Michelin pour trouver bové ou beauvais.
Pour le match qui peut l'enregistrer ?
Si le coach continue de denigrer mes performances sportives je signe à Montgeron. A tout hasard je te rappelle que tu dois veiller sur la bonne sante psychologique de ton troupeau, alors pas de mauvais esprit.
Quand aux autres, si ils venaient un peu plus souvent aux entrainements, ils veraient que le pourcentage d'en avants est en chute libre (et sans les gants de Manolo).
Quand à Al il pourra faire la morale, lorsqu'il aura un guide Michelin pour trouver bové ou beauvais.
Pour le match qui peut l'enregistrer ?
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