France / Maoris
Modérateur : Mod. Hexa
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France / Maoris
Il n'y a personne pour en faire un petit CR parmi les treizistes ?
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Dimanche prochain à Rodez, au sein cette fois d'une sélection française, Sadaoui, Gérin, Elima, Artie Shead et Pelo, se souviendront qu'hier à
Carcassonne ils auront joué aux auto-tamponneuses avec des Néo-Zélandais amateurs de placages secs et sévères. Mais pas seulement.
Heureusement. Car le match valut également par la manière dont les Français utilisèrent le ballon. En n'oubliant pas; par exemple, de le faire
voyager jusqu'aux ailes, même si le premier essai, signé Gay, au bout d'une course rageuse, fit essentiellement appel à la force.
Sous l'oeil de Steve Deakin, venu voir de quel bois Dimitri Pelo se chauffait, car à l UTC on prépare , aussi (avenir à moyen terme, les Bleus
étaient ainsi entrés idéalement dans le match, Fakir, impérial depuis le coup d'envoi, punissant à son tour (adversaire, passé le quart d'heure
initial. Et quand Gay y alla de sa deuxième conclusion, après une monumentale Percée de Banquet, les spectateurs firent une fête à ce XIII de France étincelant d'aisance. Et autant à Albi, trois jours plus tôt, le Languedoc-Roussillon avait joué les intermittents du spectacle, autant cette foisla Frànce se fit remarquer par sa régularité dans l'effort.
Les Maoris ne lâchent rien.Avec une nouvelle prouesse, oeuvre de Houlès, à la réception d'un subtil coup de pied à suivre de Rinaldi. Pris de vitesse, et à la gorge par d'intraitables plaqueurs bleus, les Maoris n'avaient plus que leur courage, intact, à offrir. Plus quelques escarmouches, comme ce relais de soixante mètres entre Smith et Cawdron (31). Ou, sur tout, ce sprint chaloupé, et victorieux, de Hei Hei, une poignée de secondes plus tard ensuite par le court "à suivre" de Smith, la France, contrainte de souffler après vingt-cinq minutes bouclées à toute allure, n'avait plus
que douze points d'avance à l'entracte, mais sur scène elle avait tenu la vedette, face à des rivaux qui n'avaient rien lâché.
Les Maoris rebondissaient toujours, à la reprise, mais les tricolores, enthousiastes et solidaires, avaient repris leurs couleurs du début, et
Frayssinous était à deux doigts d'aplatir un ballon délivré au pied par Rinaldi. Elastiques et robustes à la fois, les Néo-Zélandais participaient
activement à ce match de haut niveau, que Hermet quittait prématurément en boitant (56). Et que Fakir, constamment à son avantage, agrémentait d'un nouvel essai,Les Maoris rebondissaient toujours, à la reprise, mais les tricolores, enthousiastes et solidaires, avaient repris leurs couleurs du début, et Frayssinous était à deux doigts d'aplatir un ballon délivré au pied par Rinaldi. Elastiques et robustes à la fois, les Néo-Zélandais participaient activement à ce match de haut niveau, que Hermet quittait prématurément en boitant (56). Et que Fakir, constamment à son avantage, agrémentait d'un nouvel essai, initié par Pelo, un Wallisien parfois transformé en bombe volante, hier. Une trouée de jampy était bientôt colmatée par ragressive défense noire, un rush de Peso faisait se lever le public, mais Aspin Heremaia traversait le terrain pour offrir à Flaivell l'essai de la consolation. Qu'importe, L France avait largement rempli son contrat, face à un rival de taille.
Carcassonne ils auront joué aux auto-tamponneuses avec des Néo-Zélandais amateurs de placages secs et sévères. Mais pas seulement.
Heureusement. Car le match valut également par la manière dont les Français utilisèrent le ballon. En n'oubliant pas; par exemple, de le faire
voyager jusqu'aux ailes, même si le premier essai, signé Gay, au bout d'une course rageuse, fit essentiellement appel à la force.
Sous l'oeil de Steve Deakin, venu voir de quel bois Dimitri Pelo se chauffait, car à l UTC on prépare , aussi (avenir à moyen terme, les Bleus
étaient ainsi entrés idéalement dans le match, Fakir, impérial depuis le coup d'envoi, punissant à son tour (adversaire, passé le quart d'heure
initial. Et quand Gay y alla de sa deuxième conclusion, après une monumentale Percée de Banquet, les spectateurs firent une fête à ce XIII de France étincelant d'aisance. Et autant à Albi, trois jours plus tôt, le Languedoc-Roussillon avait joué les intermittents du spectacle, autant cette foisla Frànce se fit remarquer par sa régularité dans l'effort.
Les Maoris ne lâchent rien.Avec une nouvelle prouesse, oeuvre de Houlès, à la réception d'un subtil coup de pied à suivre de Rinaldi. Pris de vitesse, et à la gorge par d'intraitables plaqueurs bleus, les Maoris n'avaient plus que leur courage, intact, à offrir. Plus quelques escarmouches, comme ce relais de soixante mètres entre Smith et Cawdron (31). Ou, sur tout, ce sprint chaloupé, et victorieux, de Hei Hei, une poignée de secondes plus tard ensuite par le court "à suivre" de Smith, la France, contrainte de souffler après vingt-cinq minutes bouclées à toute allure, n'avait plus
que douze points d'avance à l'entracte, mais sur scène elle avait tenu la vedette, face à des rivaux qui n'avaient rien lâché.
Les Maoris rebondissaient toujours, à la reprise, mais les tricolores, enthousiastes et solidaires, avaient repris leurs couleurs du début, et
Frayssinous était à deux doigts d'aplatir un ballon délivré au pied par Rinaldi. Elastiques et robustes à la fois, les Néo-Zélandais participaient
activement à ce match de haut niveau, que Hermet quittait prématurément en boitant (56). Et que Fakir, constamment à son avantage, agrémentait d'un nouvel essai,Les Maoris rebondissaient toujours, à la reprise, mais les tricolores, enthousiastes et solidaires, avaient repris leurs couleurs du début, et Frayssinous était à deux doigts d'aplatir un ballon délivré au pied par Rinaldi. Elastiques et robustes à la fois, les Néo-Zélandais participaient activement à ce match de haut niveau, que Hermet quittait prématurément en boitant (56). Et que Fakir, constamment à son avantage, agrémentait d'un nouvel essai, initié par Pelo, un Wallisien parfois transformé en bombe volante, hier. Une trouée de jampy était bientôt colmatée par ragressive défense noire, un rush de Peso faisait se lever le public, mais Aspin Heremaia traversait le terrain pour offrir à Flaivell l'essai de la consolation. Qu'importe, L France avait largement rempli son contrat, face à un rival de taille.
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